Ce matin, j'ai à peine eu le temps d'entendre la voix de Patricia Martin et je me suis rendormi. Un peu fatigué, pépère.
Réveillé en sursaut par le journal des sports, à 6h32. Je saute du lit, ayant du pain sur la planche avant mon premier cours. Petit déjeuner rapide, et hop, direction la salle de bains. Coup d'oeil anxieux à la pendule murale: 6h45. Bravo! Non seulement, j'ai rattrapé mon retard, mais je suis même en avance sur les autres jours.
Je décompresse donc, prends mon temps, m'hydrate méticuleusement (l'hiver lyonnais ne vaut rien à ma peau) et rejoins la cuisine pour je ne sais plus quoi. En passant dans l'entrée, rapide regard machinal sur la pendule: 7h20. Bon, d'accord, elle ne fonctionne à nouveau plus. Il va falloir que je change les piles, ou que je change la pendule. Par acquis de conscience, vérification à la cuisine: là aussi 7h20.
Belle montée d'adrénaline: s'il y a une pendule qui ne marche pas, c'est celle de la salle de bains!
Et je suis terriblement à la bourre.
Heureusement, je me souviens de l'endroit où j'ai garé ma voiture. Heureusement, personne ou presque ce matin dans les rues (ça doit se produire au maximum deux fois par an, été non pris en compte). Je fonce, espérant ne pas avoir affaire à la maréchaussée et à ses radars. Tout ça pour arriver au collège encore plus tôt que d'habitude.
Souvent le temps varie (j'ai constaté le même phénomène chaque fois que je suis avec J., mais là, il rétrécie toujours!), bien fol qui s'y fie!
mardi 18 décembre 2007
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