Pour mon plaisir aussi même si je ne le manifeste pas à chaque fois. Je ne peux pas écrire (crier) à chaque fois "moi aussi, moi aussi, moi aussi". Avec pour seule présence un écran. J'aurais trop peur de ressembler à Echo. Ce qui ne veut pas dire que je vous compare à Narcisse (très loin de moi cette pensée). J'ajoute que j'aime les pierres, la pierre, la matière, celle que l'on sculpte, que l'on taille et que la photo représentant des pierres inégales mais scellées avec tant d'imagination et de patience est superbe. Ce sont des pierres qui parlent et qui interrogent.
5 commentaires:
Tes clichés me rassurent, je ne suis pas seul à photographier les plafonds. Quand ils s'y prêtent.
Pourquoi pas les plafonds? J'aime aussi beaucoup les dessous de ponts, tu sais.
Quelques clichés...
quelques petits clichés...?
Superbes photographies, Calyste !
Vous faites chanter les pierres,
elles ondulent, elles prient,
elles dégagent l'art du trait,
elles s’élèvent et se voûtent
régies par le nombre d’or.
Etre une pierre de l’édifice
que vous photographiez…
Pour mon plaisir aussi même si je ne le manifeste pas à chaque fois. Je ne peux pas écrire (crier) à chaque fois "moi aussi, moi aussi, moi aussi". Avec pour seule présence un écran. J'aurais trop peur de ressembler à Echo. Ce qui ne veut pas dire que je vous compare à Narcisse (très loin de moi cette pensée). J'ajoute que j'aime les pierres, la pierre, la matière, celle que l'on sculpte, que l'on taille et que la photo représentant des pierres inégales mais scellées avec tant d'imagination et de patience est superbe. Ce sont des pierres qui parlent et qui interrogent.
A chaque fois, une fois de trop. C'est presque un lapsus. Je me demande souvent où a été "la fois de trop". La dernière fois, ou la première fois ?
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