Henri Tisot est mort il y a quelques jours. La radio a beaucoup évoqué sa disparition, beaucoup plus que je ne l'aurais pensé. Et de rappeler sans cesse ses imitations du Général De Gaulle qui, c'est vrai, ont marqué toute une époque, celle des années soixante..
L'extrait d'interview repassé ce jour-là sur France-Inter m'a un peu refroidi: le comédien/imitateur/écrivain y disait que le cinéma est passé totalement à côté de lui. Bien présomptueux, le monsieur! Je n'ai jamais vu en lui de la graine de grand acteur.
Je préfère, pour ma part, garder l'image de cet étudiant débonnaire et provençal qui a enchanté ma jeunesse, dans le feuilleton télévisé: Le Temps des copains. Lucien Gonfaron, parmi les trois jeunes gens, était mon préféré.
vendredi 12 août 2011
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5 commentaires:
Lui, je l'aimais bien.
La plus rusée métonymie que je connaisse est à la puissance 3 et inventée de toute pièce. C'est cette chaine de bistrots qui s'appelle "Au bureau"...
Pour ce qui est du manuel des usages, n'étant pas un professionnel de la profession je m'en tiens au "Vocabulaire du commentaire de texte" de chez Larousse. Simple et pratique !
Bon je me suis gouré de case... Faut dire que je me réveille...
Ah, Tisot ! il avait fini par être touché par la "Grâce", et ayant un peu appris l'hébreu et l'arabe, parcourait la France en prêchant un salmigondis œcuménique mêlant les trois "Religions du Livre".
Oh, pas dangereux,le prosélyte, mais sérieusement ravagé de la foi, parce que pour un seul homme, une religion, si on veut à la limite, ça va, mais trois, bonjour les dégâts...
Cornus: pour ma part, j'emploierais le passé simple, de l'action accomplie (donc terminée).
P.P: effectivement, j'en avais entendu parler, mais la radio est restée bouche close sur cet aspect du personnage. "Salmigondis œcuménique": le mot est bien joli et la chose bien écœurante!
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