mardi 29 avril 2008
Mode mineur.
J'ai l'impression, pour l'instant, de ne rien dire dans ces billets, ou de dire n'importe quoi. Pourtant le rendez-vous avec ces pages, même s'il m'exaspère au début, finit au fil des minutes par m'être indispensable.
Comme l'a écrit Hervé Guibert, dans le texte extrait de Le Mausolée des amants, que nous propose ce soir Océania (Voyage dans les mots):
Il est heureux que j'aie la possibilité d'une évacuation quotidienne, par le journal, d'une écriture même mineure, même déviée ou recouverte (...).
Merci, Océania, et pardon pour le mode mineur.
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