Caly est en train de lire mon blog depuis ses débuts, comme je l'avais fait il y a quelques années pour celui d'Olivier Autissier. Cela me fait énormément plaisir et me surprend en même temps beaucoup. De 2007 à aujourd'hui, cela représente plus de 2600 billets à avaler, les uns écrits avec les tripes, ceux du début, les autres plus anodins voire insignifiants. Une lecture de longue haleine donc, chronophage comme en a été l'écriture, et sans doute pas forcément intéressante à chaque fois. Que quelqu'un fasse cet effort me touche beaucoup. Même, surtout, mes amis les plus proches ne se sont jamais livrés à cet exercice.
Alors, Caly, d'abord merci. Et puis ne m'en veux pas trop si tu y perçois parfois un peu de flemme ou de facilité. J'ai eu plusieurs fois l'envie d'arrêter ce blog, en me disant "à quoi bon ?". J'ai tenu, je tiens encore malgré certains pessimistes qui ne lui donnaient que peu de temps à vivre. Et j'espère qu'il te donnera, en le lisant, autant de plaisir que j'en ai, le plus souvent, pris à l'écrire.
samedi 12 novembre 2011
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6 commentaires:
sourires...
Je crois Calyste que mon commentaire laissé il y a quelques minutes, (avant que je ne lise le billet présent) te prouvera à quel point c'est à moi de te remercier...
Ceci dit, je confirme que te lire n'est pas un "effort", c'est au contraire suivre un cours d'eau, parfois un fleuve à la force majestueuse, à d'autre un ruisseau impétueux mais incertain, souvent une rivière tranquille et sereine aussi.
Tu es Humain, et j'aime cette beauté intérieure qui émane de toi.
Tout simplement.
Je me doute que d'aucuns trouveront ma réponse un peu mièvre, que d'autres se demanderont pourquoi ce "coup de foudre" bloguesque, d'autres encore, qui sait, s'imagineront pis que pendre de cette ébauche d'amitié...
Honnêtement l'avis des gens je m'en fiche. Je t'ai lu (pas encore totalement) et je sais que dans le verbe est l'être. Et dans ton verbe, je reconnais le reflêt de l'âme soeur.
Je peux me tromper, note. Mais ça vaut la peine de vérifier ;)
J'avoue avoir picoré quelques notes chez toi un peu au hasard, mais tout lire, cela ne me semblait pas évident. peut-être Caly pourra-t-elle nous faire une compte rendu critique résumé ? ;-)
Caly: pas de trace du commentaire dont tu parles. Où l'as-tu laissé?
Tu me ferais presque rougir avec tous ces compliments! Prends-le temps de vérifier et n'hésite pas à te servir de mon mail si tu ne veux pas t'exprimer ici. l'adresse se trouve en cliquant sur mon profil (colonne de droite). Je t'embrasse, quoique l'"on" en pense!
Cornus: j'ai peur d'être inrésumable!
La longue lecture de Caly ne m'étonne guère. C'est comme ça que j'avais commencé à te lire. J'avais fait de même pour le Chevalier, et tu vois, l'in extenso laisse des traces, puisqu'on est toujours là !
Chronophage dis-tu ? Bah le temps vaut bien la peine d'être dépensé, sinon à quoi sert-il...
Résumable, si, mais peut-être un résumé difficilement audible.
Après Caly, il faudra lire tous les commentaires laissés çà et là afin de sonder d'autres facettes calystéennes ;-)
La plume: tu as raison, pas d'économies! Et merci pour ta fidélité.
Cornus: elles ne sont pas si nombreuses, ces facettes.
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