dimanche 20 novembre 2011
La tête et le reste, alouette
Parfois, on sort de sa rêverie, de son ailleurs, parce que l'on a mal physiquement. Et l'on s'aperçoit que (depuis combien de temps?) on a les mâchoires serrées l'une contre l'autre, à s'y renfoncer les dents, ou le pouce replié et prisonnier des autres doigts qui le broient. Alors on se dit que le corps est plus fort que la tête et que les "anti-virus" de l'esprit ne fonctionnent pas si bien que ça avec lui.
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10 commentaires:
Ah voilà un petit post qui ferait le bonheur de mon prof de gym douce !
Allez, Calyste, allongé sur le sol, les mains sur le bas-ventre et on fait travailler son diaphragme pour décoincer tout ça !
(je repasserai plus tard pour vérifier que t'en profites pas pour roupiller)
La vie du corps nous échappe parfois, aussi.
La Plume: la main sur le bas ventre? Ah, si c'est ça, la gym douce, je suis preneur!!!
Nicolas: mais on s'en rend compte généralement plus vite.
Sale gamin !
Je n'ai pas bien de souvenirs d'un tel phénomène.
La Plume: oui, on me l'a déjà dit !
Cornus: lequel ? La main sur le bas ventre?
Mais non, coquin Calyste, celle d'avoir mal physiquement dans une attitude crispée (en dehors de dormir dans une mauvaise position qui induit des douleurs au dos, cou, épaule...).
Cornus: tu sais que tu me fais de ces frayeurs !
je ne vois pas pourquoi (j'ai pas l'esprit mal tourné, moi).
Cornus: pffff....
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