Un dimanche sans arrière-pensée, sans douleurs, sans pincements, un dimanche d'une banalité affligeante mais j'étais bien là, tout le temps, pas derrière le masque, pas perdu dans les méandres de mon cerveau: là, et j'en avais conscience. Un lever tard, un bon repas avec de vieux amis, pas de longue date, des vieux qui parlent fort pour s'entendre, et tous à la fois, pour ne plus s'entendre. Ils ont joué à la belote, j'ai fait quelques mots croisés avant de m'assoupir sur le canapé. Un baiser sur le front pour me réveiller. Grignotage rapide et retour tôt après avoir raccompagné Frédéric. Nous serons les seuls à travailler demain.
Je ne me suis posé aucune question.
dimanche 15 janvier 2012
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