Dernier Indridason lu, Le Lagon noir reprend, entre autres, un des fils rouges de cet auteur : la disparition d'une enfant. Parallèlement, lui et Marion enquêtent sur la mort d'un ouvrier islandais dans la base américaine proche de Reykjavik. Nous sommes en 79 et la guerre froide est toujours de mise.
Si parfois, les dialogues, nombreux, sont redondants, on se laisse embarquer, au point que j'ai momentanément laissé un peu tomber Stevenson, par la solitude et la mélancolie du, à ce moment-là, jeune inspecteur. Mais, comme d'habitude, je renonce à lire vraiment et surtout à mémoriser les noms de lieux islandais ! ...
(Arnaldur Indridason, Le Lagon noir. Ed. Métailié. Trad. de Eric Boury.)
vendredi 26 octobre 2018
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