Que dire de ce petit roman, heureusement court, de Yoshiyuki Junnosuke ? Vite lu, sans plaisir, sans rien qui puisse accrocher l'attention : un quadragénaire entretient une liaison avec une jeune femme qui veut à tout prix garder sa virginité.
Trame parfois difficilement perceptible, style volontairement froid et sec, un brin de perversité, comme chez Yoko Ogawa (et beaucoup d'auteurs japonais) mais sans l'art et la délicatesse de cette dernière. Je ne comprends toujours pas quel était le but de l'auteur.
(Yoshiyuki Junnosuke, Juqu'au soir. Ed. du Rocher. Trad. de Silvain Chupin.)
lundi 29 octobre 2018
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