Jeudi 4 octobre 2007, je me lançais, ne sachant trop où j'allais mais avec l'envie, le besoin féroce, vital, d'écrire. Aujourd'hui, après 3649 billets, j'ai toujours cette même envie, ce même besoin, même si l'un et l'autre sont un peu apaisés par les années passées. Certains sont venus là quelque temps, d'autres y sont restés jusqu'à ce jour, depuis le début. Et cette fidélité me touche car je ne la comprends pas totalement. A travers vos commentaires, j'ai vu se dessiner des silhouettes que j'ai appris à aimer et qui font aujourd'hui partie de ma vie au même titre que mes amis bien en chair et en os. Certains soirs, l'envie n'était pas là et puis, très vite, elle revenait, parfois pour un rien, un instant de vie qui échappait ainsi à mon oubli.
Six ans, bientôt l'âge de raison... Merci à tous.
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8 commentaires:
Merci pour cette hommage aux lecteurs fidèles, j'en prends ma part :)
Et heureux, dans ce domaine au moins, d'être ton aîné...
'cet', pardon.
Tu ne comprends pas pourquoi on reste ? Mais parce que tu n'es pas quelqu'un qu'on abandonne !
Toujours lecteur assidu même si moins comment tateur
Je ne sais plus quand est-ce que j'ai commencé à te lire, mais cela fait déjà un bon moment maintenant. Pas depuis le début certes, mais une bonne tranche partagée cependant. Et tu fais partie des incontournables où je raconte mes salades. Et puis cette impression de partager des choses. Et puis ce que tu racontes, j'y trouve tout le temps mon compte, je ne m'y ennuie jamais. Et plein d'autres choses qui font qu'on est obligé de revenir. Et puis il y a Calyste lui-même en vrai, et ça on n'oublie pas non plus que c'est quelqu'un de bien, de vraiment bien. Merci à toi.
A tous : c'est à moi de vous remercier encore.
de plus, pour en rajouter à ce que disent mes collègues lecteurs de votre blog, ce n'est pas parce que nous ne commentons pas que nous n'y venons pas.
Moi je viens vous lire tous les jours, d'autant plus que je suis lyonnaise et que j'aime vos anecdotes et la façon dont vous racontez.
Paki : merci alors à vous aussi, que je connais pas.
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