mardi 24 avril 2012

Saône-et-Loire (5)

Ce que j'ai oublié de dire, et pour en finir, c'est la quiétude des maisons de pierres taillées, de la pierre claire et qui parfois brille au soleil, les pommes des nuages, la beauté des grands arbres isolés qui ponctuent l'horizon, la discrétion des gentilhommières perdues au fond de leurs allées, l'abondance des prés d'un vert si beau au printemps, les taches des bovins, blancs dans la verdure, la jeunesse de cette nature et son antique sérénité, bercée par les collines et les étangs moussus, l'eau qui court partout jusqu'au pied des églises. Une France d'autrefois qui renseigne l'esprit.

3 commentaires:

Cornus a dit…

Tu y étais avant qu'on arrive dans la région. Seulement, pour nous, cela a été une désolation : pluie, pluie, vent, pluie, pluie. En une semaine, un seul jour sans pluie (et encore).

Calyste a dit…

Cornus: une bonne raison pour y revenir encore!

Cornus a dit…

A n'en pas douter.