Un petit tour sur la Place Bir-Hakeim pour le vide-grenier annuel. Rien ou presque. A six heures, alors que j'arrivais, les marchands commençaient à remballer leur marchandise. J'ai plus manipulé d'objets aujourd'hui dans mon appartement qu'il n'y en avait tout à l'heure sous les arbres.
Maintenant, le couloir et un des petits halls sont finis. La partie nuit de l'appartement commence à prendre forme. Et c'est bien là qu'il faut que je réagisse: Jean-Claude va s'attaquer ensuite aux parquets à nettoyer et rénover et je dois vider tout ce qui traîne encore, en particulier dans la chambre d'amis. Toute en œuvrant depuis ce matin, je me demandais où ce bric-à-brac avait bien pu auparavant trouvé sa place. Je ne cesse de jeter, de donner, et il y en a toujours plus: des livres, bien sûr, encore trop, mais si c'était tout! Des lampes, des bibelots, des pendules, des lustres, des cadres, des vêtements,que sais-je encore!
Et puis toute cette poussière qui s'est accumulée pendant les travaux! Je n'ose penser au moment où il faudra tout reprendre et astiquer! D'autant que dans la partie jour de l'appartement, nous avons l'intention de démolir une cloison, ne faisant qu'une seule grande pièce du salon et de la salle à manger. Des gravas et encore de la poussière en perspective. A Pâques, cela fera un an que je vis dans ce capharnaüm! ...
samedi 16 avril 2011
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4 commentaires:
Tiens, réponse à ma question posée quelques messages en arrière... Commentaire unique à une note qui n'en comportait pas auparavant... j'ai l'impression de parler dans un appartement désert... abandonné par ses occupants... mais je ne balaierai pas la poussière et les gravats ! Trop fainéant ! Juste un bisou. Note suivante....
Lancelot: moi, un appartement vide me donne d'autres idées. Un beau peintre en salopette, je ne dirais pas non, par exemple...
Ah les vide-greniers et autres braderies, j'ai un peu de mal à m'y rendre, je suis presque systématiquement déçu par ce que beaucoup osent vendre comme saletés.
Quant à la poussière, je compatis.
Cornus: cette fois-ci, question saleté, on touchait au sublime!
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