Presque rien, ce soir, par manque de temps. Mes copains Salluste et Tite-Live ne m'ont pas lâché de la soirée (de l'après-midi non plus d'ailleurs).
Seul plaisir (et quel plaisir!!!): faire les courses pour remplir un réfrigérateur ressemblant à certains moments au désert de Gobi (froid mais vide). Et découvrir qu'à Casino, ils n'ont toujours pas (depuis deux mois) la mousse à raser dont je me sers habituellement, et, plus grave, que le rayon pain d'épices pomme/cannelle était, lui aussi, désespérément vide. Ça, c'est une cause de divorce!
Au lieu d'écrire n'importe quoi, je devrais plutôt être dans mon lit depuis dix minutes. Allez, bonne nuit, et toutes mes excuses de vous avoir imposé ça. Surtout que, je ne sais pas ce qui se passe, vous êtes très nombreux à me rendre visite en ce moment! Encore un billet comme celui-ci, et je perds toute crédibilité. Pardon, pardon!
lundi 6 octobre 2008
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6 commentaires:
Un déficit de mousse à raser ! (quelle marque ????) et de pain d'épices pomme-cannelle !!! (quelle marque ???) GEANT ! C'est bien mieux que la Télé Réalité ! le "Blog-Réalité", dans tout ce qu'il peut avoir d'intime ! GENIAL ! Je raffole et j'en redemande !!!!
(Le pire, c'est que je ne suis pas du tout ironique... Ce genre de billet m'amuse et me plaît beaucoup. Un blogueur, ça ne fait pas que philosopher et écrire. Ca se rase et ça mange, aussi. ;-) )
C'est vrai, ça : l'avantage du net-réalité, c'est qu'on peut citer les marques sans se faire épingler par le CSA. Alors : quelle marque, la mousse ?
Pour ma part, je suis un ardent défenseur du blaireau ! Tiens, cela me donne envie d'écrire sur le mien (et que les choses soient claires : personne ne doit se reconnaître dans cette phrase, hmm? Je parle bien de l'objet...) Avec la crème à raser Weleda (j'ose !), le rasage relève du pur bonheur. On peut utiliser cette crème sans blaireau, mais comme pour beaucoup de choses, c'est mieux avec lui.
Pour élever le débat et continuer dans la série "des riens", j'ai une question - une vraie question pour Monsieur le Professeur.
Dans le commentaire précédent, j'ai failli écrire : "comme pour beaucoup de choses, c'est mieux avec"... sans pronom. Je ne sais pas pourquoi, cette tournure, pourtant courante, m'a toujours choqué. Est-elle correcte ? Des expressions figées comme "faire avec" ne me posent pas problème par ailleurs.
C'est grave, docteur ?
Oui, Patrick, la tournure me semble correcte, même si, comme toi, je tends à l'éviter. Comme "faire avec", elle appartient pour moi à un registre familier (entend pas là: à utiliser en famille ou avec des amis). Rien de grave, puisque nous sommes entre amis ici.
Lancelot, oui,ça peut être drôle une fois de temps en temps, mais le jour où je n'aurai plus que ça à dire, je crois bien que j'arrêterai d'écrire. Sans tomber dans la masturbation intellectuelle, il faut tout de même que ce que l'on livre présente un minimum d'intérêt pour les autres! Toi qui écris si bien, tu pourrais te cantonner dans ce genre de billets?
Hum... "moi qui écris si bien" (et qui rougis si mal...), justement, je suis très très très partagé sur ce style d'alternative. Il n'est bien évidemment pas question de "se cantonner" à des billets sur nos petits problèmes de consommation... Mais en même temps, je trouve que le "défi" d'écrire sans cesse sur un sujet qui INTERESSERA, TOUCHERA, PASSIONNERA, EMEUVRA (? c'est la bonne forme ?) les lecteurs, c'est un sport épuisant. J'admire sincèrement ceux qui y parviennent au quotidien... et je dois admettre tristement mon incapacité en ce domaine. Quand je n'ai rien de "sérieux" à dire, je sors mon masque de blog-clown et je fais des cabrioles... en espérant que je saurai faire rire, à défaut de faire pleurer ou de passionner...
Et, je dois dire, que par moments, j'ai besoin d'être rassuré. Oui, on peut être terre à terre. Et, oui, on peut en rire. Cette note-ci, écrite par toi, a eu cet effet-là sur moi.
"Emouvra", "émouvra"! Mon petit Lancelot, vous me copierez le verbe "émouvoir" à tous les temps et à tous les modes pour lundi.
Mais vous m'avez ému plus d'une fois, alors je lève la punition et je vous embrasse. Vous êtes pardonné!
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