Comme les doigts de la main, ils seront cinq encore ce soir à montrer leur crinière ou à tenter le cou de patte. Des lions et des ours, mes lions et mes ours.
(OURS 27)
Celui-ci n'a rien d'extraordinaire, si ce n'est comme le suivant, son emplacement: la Villa Florentine, un Relais et Châteaux du 5°( Montée Saint-Barthélémy). D'ordinaire, je ne donne pas le nom des hôtels, mais celui-ci est si beau, et j'y ai été si bien accueilli lors de mon passage éclair!
(LION 20).
Même lieu, sur une terrasse, mêmes remarques. J'avais bien mérité la beauté, après la terrible ascension à pied de la montée des Chazeaux (je n'ai pas compté le nombre de marches, mais il faut le faire)!
(LION 21)
Grimpons encore davantage, jusqu'au Musée de Fourvière, en respirant au passage roses et iris du jardin du rosaire. Celui-ci ne cache pas son solide appétit.
Petit poisson ne deviendra pas grand: Dieu, même à Fourvière, ne lui prêta pas vie.
(LION 22)
Changement radical de quartier. Nous voici à la Cité Internationale,dans le 6° arrondissement, tout près d'Interpol. Est-ce pour cela que la lumière est si chiche? Impossible de faire mieux pour la photo par ce jour pluvieux. D'ailleurs, à part sa frange, qu'a donc à nous montrer ce lion?
(OURS 28)
Face à lui, en revanche, ce magnifique spécimen d'ours-porteur-d'esclaves. Est-il au service des marchands ou aide-t-il ces hommes à s'enfuir? L'histoire ne le dit pas.
Belle figure de proue.
Tant de créativité à la Cité Internationale, c'est renversant, non? Ou pliant, comme vous voulez.
vendredi 6 juin 2008
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