dimanche 24 février 2008

Trop-plein.

Nous venons de passer un dimanche en famille très agréable, chez mon frère. Bon repas, après-midi tranquille et ensoleillée. Pas de tiraillements, pas de gêne, rien que du bien-être.

Alors pourquoi, chaque fois, en les quittant, ai-je un immense besoin physique, une envie quasi maladive que quelqu'un me prenne dans ses bras et me serre très fort contre lui? Pas de besoin sexuel, non, simplement me sentir bien entre ces deux bras repliés sur moi.

Autrefois, je me précipitais dans les lieux appropriés en quête du premier venu . Aujourd'hui, je rentre chez moi, conservant ce trop-plein de tendresse ( ou d'angoisse) que justement la rencontre du premier venu n'a jamais réussi à calmer. Là dessus aussi, j'ai changé.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

L'étreinte, celle qui nous enveloppe et nous accompagne jusqu'au bord du sommeil, peut être le contraire du corps-à-corps, de la violente mêlée.(Anna F.)