Retour au polar italien avec la nouvelle sortie en poches d'un Camilleri. Je m'y sens pour ainsi dire comme chez moi depuis le temps que j'en lis. Dans celui-ci, toujours le commissaire Montalbano, toujours sa bonne Adelina, toujours sa maîtresse turinoise Livia et toujours la mafia. J'allais oublié : toujours de bons petits plats locaux.
Mais, comme Montalbano lui-même, qui s'en plaint, je vieillis ! A la lecture des premières pages, j'ai cru que j'avais racheté un livre déjà en ma possession et déjà lu (c'est arrivé quelquefois). Il n'en était finalement rien. Va falloir que je mène une enquête pour savoir où sont passés certains de mes neurones.
(Andrea Camilleri, Une Voix dans l'ombre. Ed. Fleuve noir. Trad. de Serge Quadruppani.)
vendredi 8 février 2019
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