En écrivant le petit billet de ce matin, je ne me suis rendu compte de rien.
J'avais par hasard découvert il y a une quinzaine de jours que je m'approchais à grands pas de mon millième petit texte dans ce blog. Eh bien, c'est fait, c'est Mon pote Auguste. Dommage? Non, ainsi je m'évite le casse-tête de trouver un sujet original qui commémore ce millier mais sans en avoir l'air, qui flatte mon ego tout en prônant la plus grande modestie.
Je me souviens que l'on m'avait dit qu'il fallait tenir le rythme, que je risquais de m'essouffler. Parfois oui, j'ai senti cet essoufflement, mais bien rarement. Je suis en plus très content que ce billet symbolique contienne deux de mes passions dans la vie: l'antiquité latine et mon métier d'enseignant.
Alors, repartis pour un nouveau mille?
PS: merci bien sûr à tous ceux qui ont eu la patience de me lire jusqu'ici (fausse modestie?).
samedi 24 janvier 2009
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8 commentaires:
Mille !
je n'y suis pas, enfin, à quelques unités près.
C'est vrai que tu écris beaucoup.
Trop?
Je ne connais pas la réponse :)
Mille billets, cela me laisse rêveuse ... pas seulement parce que vous les avez écrits, mais parce que je les ai tous lus. Je suis attachée à ce blog. J'aime ce rendez-vous presque quotidien. Suis-je donc devenue une femme "fidèle", à défaut d'être une femme "vertueuse" ? Comme je vous envie parfois d'être aussi sincère.
Comme on dit dans le sud : "je suis espanté" !
Continue surtout !
Fidèle ou vertueuse? Je ne sais pas, Anna. Présente et peu à peu indispensable, oui.
Tu ferais bien d'en prendre un peu de la graine, Petrus: je te trouve un peu en hibernation ces temps-ci!
Mille et un billets : Calyste en Shéhérazade.
"Trop" ? Moi j'ai MA réponse : non, bien sûr que non, ce n'est jamais trop. Mais, en raison de ton mode de fonctionnement, quand je viens te commenter, j'ai toujours un retard fou à rattraper ! Un peu comme si je faisais du jogging derrière toi et que je te criais de m'attendre ! Rien à faire, il continue, en petites foulées sereines et imperturbables...
Et mes réponses à tes commentaires, c'est pas du sport, ça aussi!
Mais ne t'inquiète pas, j'adore te lire et te répondre. Je suis très heureux de te voir dans mes parages, frèrot.
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