Quel silence dans ce blog! Inhabituel, n'est-ce pas?
Bon, reprenons du début. Hier, vous le savez, cela a été annoncé par ci et par là, c'était mon anniversaire. Et tout à fait par hasard, nous avions choisi ce jour-là pour nous organiser un petit repas au restaurant, mes collègues de français et moi, plus, bien sûr mes deux amis Stéphane et Hélène, deux collègues d'histoire. C'était la première fois depuis près de trente ans que je suis dans ce collège que cela se passait. Bienvenue les nouveaux profs! Restaurant arménien (en fait, plats grecs), très sympathique et à la cuisine agréable et bonne. Comme j'étais tout content et décontracté, je n'ai pas fait attention à la dose d'alcool que je buvais, d'autant plus à l'aise que mon nouveau collègue mâle s'était assis VOLONTAIREMENT en face de moi, et je n'ai pas eu le courage en rentrant de me mettre à écrire.
De plus, cette soirée suivait un repas de midi avec J., qui avait remplacé la course à pied avec Laurent initialement prévue. Apéritif, cadeau et massage (non, pas grec!) furent au menu de ce déjeuner. Et bavardages, bien sûr! On n'a jamais trop de temps, tous les deux!
L'après-midi, il faisait beau. Tout mon travail avait été fait, programmé, les copies corrigées. Alors, en plus de la tendresse et de la gastronomie, j'ai ajouté un autre plaisir à la journée: la photo. Destination La Doua, le campus universitaire scientifique de Lyon. J'en ai ramené une moisson de clichés. Il faut à tout prix maintenant que je les trie et les publie sur flickr. Une très agréable surprise m'attendait au pied d'un amphi. Mais j'en parlerai dans le prochain billet.
Aujourd'hui, course ce matin puis visite à la tombe familiale près de St Etienne. Circulation très perturbée sur l'autoroute, aux voies réduites suite aux inondations de ces derniers jours. Au retour, un tour par Bellecour, avec l'intention de me rendre au salon du livre des éditeurs régionaux. Arrivé sur place, je n'en avais plus du tout envie. Un coup de fil à Fabrice: personne au nid. Plus de chance avec François-Jean. Nous entamons une balade dans le vieux Lyon, mais j'en ai vite plein les jambes et rentre plus tôt que prévu chez moi.
Et là, je mets à jour mes obligations de garçon poli et civilisé: répondre aux uns et aux autres pour leurs commentaires, leurs billets, leurs mails, leurs photos. Un vrai courrier de ministre, entrecoupé d'une longue communication téléphonique avec Fabrice.
Mais pourquoi je vous raconte tout ça? Pour vous expliquer le silence un peu plus long que d'ordinaire entre deux billets. Voilà, c'est fait. Votre curiosité comblée, on peut passer à autre chose? En tout cas, merci à tous pour tous ces messages: je vous embrasse tous. J'espère que vous mesurez la chance que vous avez! Des bisous de ministre!
samedi 8 novembre 2008
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6 commentaires:
Eh bien tu m'en vois désolé, pour hier, mais je ne savais pas !
S'il n'est jamais trop tard alors, bon anniversaire.
Il n'est pas trop tard, Olivier, et ça me fait plaisir. Merci.
Je suis navré ! Pour un fidèle lecteur, je crois que l'annonce de ton anniversaire m'est passée sous le nez. Il faut dire que tu parais si intemporel que l'on en oublie que tu puisses avoir un âge...
Bon anniversaire et gros bisous !
Vous êtes impardonnables les mecs, il l'avait discrètement annoncé dans l'un de ses précédents billets. A croire que vous lisez notre ami d'un oeil distrait... C'est pas séreixu tout çà, non mais !
Comment ? Ai-je pensé à son anniversaire ? Ben moi, c'est pas pareil, je sors d'une longue maladie, ma mémoire est chancelante, bref c'est pas ma faute ! Quoi ? Je ne suis pas crédible ? Et oui, que voulez-vous, je ne suis pas toujours parfait ;-)
Bon, en attendant, pour me faire pardonner, je lui ai promis que... La suite relève du secret d'état
Moi, je sais, moi je sais !!!
Et je te rappellerai ta promesse, Fabrice. Maintenant, si Petrus, qui sait apparemment tout, voulait en être, je ne dirais pas non (histoire de se faire pardonner, lui aussi)!
Dommage que je n'ai pas d'anniversaires plus souvent!
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