dimanche 30 novembre 2008

Bach et moi, novembre finissant.

Messe BWV 234 en la majeur, de Bach, version 1990 de Philippe Herreweghe. Rien de tel pour rendre léger un après-midi de novembre agonisant, venteux et gris, occupé à corriger des rédactions de 6°, pas si mauvaises que ça d'ailleurs.

Et puis il y a Gérard Lesne, virevoltant dans les aigus, si chaudement humain dans les graves, belle voix de contre-alto qui me parle directement. Le "Quoniam tu solus Sanctus": un moment de pure merveille. Quatre minutes de bonheur: je suis mieux loti que la plupart des hommes!

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Et moi, j'écoute Daniel Mille, accordéoniste fabuleux aux airs de jazz lancinants qui enveloppent l'âme au creux du désir.
En rangeant des papiers, je redécouvre un texte sur le paradoxe du désir... pas de hasard... je le publie ce soir

Calyste a dit…

Et je le lis, Rousseau!