mardi 20 décembre 2016

La Cité des jarres

Les polars nordiques sont très à la mode en ce moment, mais je ne le savais pas lorsque j'ai lu mon premier Indridason. Je dois en être au troisième ou quatrième et j'aime toujours autant. Parce que j'aime les personnages récurrents qui me rappellent l'époque où je me délectais de Mac Bain et de son 87° district. Parce que j'aime son personnage d'inspecteur, Erlandur, qui se trimbale avec des problèmes de famille carabinés. Et parce que j'aime aussi ses intrigues où l'on n'a pas l'impression de relire la même histoire pour la vingtième fois.

Là, toujours Reykjavik, toujours sa fille Eva Lind, qui traîne son mal-être dans la drogue, et une sombre histoire de génétique. J'aime beaucoup, vous dis-je !
( Arnaldur Indridason, La Cité des jarres. Ed. Métailié. Trad. de Eric Boury.)

2 commentaires:

Cornus a dit…

A la télévision également les polars nordiques ont l'air d'avoir le vent en poupe !

Calyste a dit…

Cornus : pas vu.