Dans le combat hivernal de mon estomac contre les désagréments après agapes trop appuyées, premier round remporté !
Samedi soir, chez moi. A six, et tous présents. Et tous en forme, les sourds pas trop sourds, les bavards pas trop bavards. Même ceux qui ont coutume de parler (trop) fort (qui sont souvent les mêmes que ceux cités précédemment) l'avaient mis un peu en sourdine. On a même connu un Dupond(t) ( l'autre n'était pas là, sinon...) sans Duponnades. Pendant toute une soirée ! C'est un exploit.
Dimanche midi, avec ma sœur, on finit les restes. Et le soir, c'est reparti, chez Jean-Claude. A neuf, cette fois-ci. Et les sourds étaient redevenus sourds, les bavards récupéraient leur retard. Et pour se faite entendre, tout le monde devait parler fort ! Et toujours pas de Duponnades, ou alors elles m'ont échappé parce j'ai parfois fermé les écoutilles (réflexe de sauvegarde dans ces cas-là). Mais belle soirée tout de même, avec mes premières huîtres de l'année, et pour ça, je suis capable de tous les sacrifices.
Et ce matin (enfin, toute fin du matin), en pleine forme : ni aigreurs, ni maux de tête, ni jambes en coton. Je crois que j'ai trouvé la solution : ni champagne, ni vin blanc. Ou alors, je rajeunis (mais ça, personne ne me l'a dit ! Les goujats !)
lundi 26 décembre 2016
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6 commentaires:
Et ben moi alors, pauvre de moi je rajoute à ta liste : ni vin rouge, ni apéro ni rien du tout et pourtant le lendemain mal de tête, jambes en coton...Tout ça pour une fête qui m'indiffère, je trouve cher payé !
Pas de vin blanc, pas de Champagne ? Mais comment peut-on ? C'est totalement impensable, impossible !
En revanche, faire l'impasse sur les apéros "classiques", c'est une habitude bien ancrée.
je n'ai jamais connu ce genre d'excès depuis ma plus tendre enfance, je ne ne connais même pas le goût de la dinde aux marrons, c'est dire si vos histoires me semblent un peu surréalistes...
Plume : comme diraient certains, c'est psychosomatique !
Cornus : demande à ma prostate !
Karagar : les excès et la dinde aux marrons, ce n'est pas non plus tous les jours. Moi, c(est plutôt jamais qui me paraît surréaliste.
Les bons vins soignent la prostate et tout le reste ! Et si c'est pas vrai, le menteur n'est pas loin !
Karagar> Des excès, jamais non plus (on peut être malade sans faire d'excès comme cela m'est arrivé plusieurs fois). Quant à la dinde, Calyste a raison, c'est quand même assez rare. Il faudra quand même que tu y goûtes un jour avant de décider ou non de ne plus y regoûter. La qualité de la matière première compte quand même.
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