Ouf ! j'y suis arrivé : terminer aujourd'hui le roman de Donna Tartt, Le Chardonneret. Un pavé de pile 1100 pages, lourd, lourd, et pas seulement à tenir en main au lit ! Un livre glauque et sans espoir, sauf peut-être dans les toutes dernières pages.
Le Chardonneret est un tableau minuscule de Carel Fabritius (1622-1654) peint l'année même de la mort accidentel de son auteur. Tout commence lors d'un attentat dans le musée new-yorkais où est exposé le chef-d’œuvre. Théo, un adolescent de 13 ans, dont la mère meurt dans l'explosion, se retrouve en possession de cet tableau. Et c'est là que les ennuis commencent pour lui.
Impossible de résumer tant c'est foisonnant mais on ne sort pas indemne de la lecture de ce livre où la noirceur présente à chaque page vous imprègne. Impression d'étouffement parfois (comme pour La Femme des sables) qui a fait que, plusieurs fois, j'ai été tenté d'abandonner.
Le conseiller ? Je ne sais pas. Il faut vraiment être sûr d'avoir le moral au beau fixe pour se lancer dans l'aventure.
( Le Chardonneret, Donna Tartt. Ed. Plon. Trad. de Édith Soonckindt.)
jeudi 16 avril 2015
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6 commentaires:
En ce moment, impossible de lire la moindre chose.
Cornus : tu as des circonstances atténuantes !
Moi un peu comme Cornus, mais je note !
Plume :mais toi, tu es dans ta phase manuelle et "traductive"....Je suis bon,tout de même, de trouver des excuses à tout le monde !
Oui tu es bon Calyste, trop bon même car je suis surtout dans ma phase feignasse pour ce qui est de la lecture. J'ai comme ça des crises...
Plume : heureusement, comme chez moi, elles ne semblent pas durer longtemps.
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