J'étais arrivé un peu tôt à notre rendez-vous. Ils n'étaient pas encore là. Quelques pas dans les rues avoisinantes à la recherche d'éventuelles photos à faire et, au retour, je les ai aperçus, pile à l'heure. Tels qu'en eux-mêmes. Contact souriant et sympathique dès la première seconde. On se sent bien ou pas avec les gens. Avec eux, je me suis tout de suite trouvé à l'aise.
Après un détour par les quais du Rhône sous le grand soleil d'aujourd'hui, nous avons regagné la destination prévue: le Musée des Tissus et des Arts Décoratifs de la rue de la Charité où nous sommes restés deux heures, plus enthousiasmés par certains pièces d'étoffes anciennes que par les salles consacrées aux meubles ou à la vaisselle. Arrêt plus prolongé devant les panneaux décorés d'anciens dessicateurs lyonnais, instruments destinés à mesurer la quantité d'eau comprise dans un ballot de soie afin d'en établir le juste prix.
Après le musée, nous sommes allés nous remettre de nos émotions dans un petit bar voisin, à la terrasse en ce 26 décembre à la température particulièrement douce. Échange sur nos métiers, sur nos rendez-vous sur les blogs des uns et des autres. La première impression se confirmait: j'étais bien avec eux. J'ai même été embêté de devoir les quitter si tôt, mais il le fallait. Nous nous sommes promis de nous revoir en échangeant des bises sincères. Un bon après-midi!
Mais avec qui au fait ? Lui porte le nom d'un roi, elle celui d'une émotion. J'en connais qui vont trouver...
mercredi 26 décembre 2012
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5 commentaires:
bon, je ne dis rien mais je n'en pense pas moins... d'autant que j'étais averti
Et moi de même et pareillement !
Et pas étonnée une seconde de la bonne rencontre.
karagar et Plume: bon, évidemment, si on vous dit tout avant, plus moyen de faire des surprises!
Ah bon Karagar était averti et on ne m'en avait pas averti !
Le roi (et la marquise émue) sont ravis d'avoir donné une impression fidèle. Le beau temps l'avait fait s'éloigner de sa couronne chapelière qu'il avait pourtant promis d'arborer afin que l'on le reconnaisse. Mais le roi n'a pas pas besoin de ça, vu que sa face inonde, non les pièces de monnaie, mais au moins un blog.
Pile à l'heure en effet, et même sans photo, on reconnaît les gens. Bon, en même temps, il n'y avait pas foule et reconnaître Calyste a été une telle évidence et une telle sympathie partagée... Bien sûr qu'il faudra nous revoir, sans attendre aussi longtemps qu'entre notre premier échange sur les blogs et cette première et trop courte rencontre.
J'ai aussi écrit un petit quelque chose sur cette rencontre, mais elle sera publiée un tout petit peu plus tard, pour respecter la chronologie de nos vacances que je me suis imposée.
Cornus: merci à vous deux pour votre gentillesse. J'attendrai donc le compte rendu de cette entrevue "historique"!
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