(Journée mondiale des coopératives, du reggae, du bandeau blanc contre la pauvreté et du naturisme. A choisir selon vos goûts ! Moi, avec cette chaleur, je n'hésite pas.)
La première déclinaison en latin, première dans le classement, première à être apprise, première même si, au cours de mes études, "roza", comme le prononçait Brel, en vint à se dire "rossa".
Rosa, c'est le prénom de Luxemburg, militante de gauche assassinée il y a juste cent ans cette année à Berlin (le 15 janvier).
Avec elle, je voudrais évoquer les autres, ce bouquet de Rosa, toutes femmes libres et fortes :
- Rosa Parks, luttant contre la ségrégation raciale aux États-Unis.
- Rosa Bonheur, peintresse et sculptrice associée aux débuts du féminisme.
- Rosa Guaman qui, en Équateur, se bat pour un commerce équitable, pour l'eau potable et pour les groupes vulnérables de la population.
- Rosa Goldstein-Ehrlich, résistante juive belge, en lutte contre le nationalisme et le racisme.
- Rosa Camps, née Codony, résistante anti-franquiste.
- Rosa Bouglione, la mama du cirque.
Une belle déclinaison, non ?
La chanson de Brel, que j'aime même si j'en réfute absolument certaines paroles.
lundi 1 juillet 2019
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2 commentaires:
Il a voulu se "venger" de son prof de latin !
Cornus : mais là, la vengeance est tout de même belle.
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