mardi 30 septembre 2008

Momentini.

- Demain, je déjeune avec J. Un moment à moi, à nous! Nous nous sommes ratés lundi. Dimanche, j'ai renoncé à l'accompagner aux épreuves internationales de rollers. Je n'ai pas cessé en travaillant de regarder le soleil dehors. Samedi soir, après son concert, nous sommes rentrés rapidement chez nous. Pas le temps de beaucoup échanger. Je suis content de le retrouver demain. Cela me fera lever le nez de mon boulot! Et nous aurons comme d'habitude des tas de choses à nous raconter.

- J'aime la nouvelle équipe que nous formons en français. Je ne sais pas si nous tiendrons, si je tiendrai, ce rythme de travail toute l'année, mais quel coup de vent frais que tous ces nouveaux et nouvelles collègues. Sympathiques et grands travailleurs. De plus la complicité avec mon seul collègue mâle grandit de jour en jour. Je crois que, vraiment, nous nous apprécions beaucoup l'un l'autre, sans aucun sous-entendu libidineux. Ce matin, nous nous sommes retrouvés un court instant seuls. Il m'a parlé de sa famille, il semble avoir beaucoup de choses à confier. Je suis prêt à jouer le rôle du confesseur!

- Demain, enfin, Oceania revient de son périple dans le sud italien. Dire qu'elle m'a manqué est peu dire. J'ai avec Voyage dans les mots un rendez-vous quotidien dont je peux difficilement me passer: une douce assuétude dont je ne chercherai pas à me guérir.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

"assuétude", que j'aime ce mot retrouvé il y a quelques semaines, grâce à vous. Précédé de douce, c'est encore mieux ; ça fait un peu mal, mais juste assez pour le plaisir.

Calyste a dit…

Oui, je l'aime aussi, alors qu'addiction sonne rugueux et maladif. L'assuétude a quelque chose de la douceur orientale.