Christian Barbier, c'est pour moi l'homme des feuilletons que mes parents, très avares en télévision, me permettaient de suivre régulièrement dans mon enfance. Bien sûr, il reste célèbre pour son rôle de marinier dans L'Homme du Picardie avec Yvette Etiévant. Pourtant, ce n'est pas un extrait de cette production que j'ai choisi de montrer ce soir. En cherchant, je suis tombé, sur Youtube, sur ce petit bijou de mon enfance que j'avais complètement oublié: Les Corsaires (ou Corsaires et flibustiers: oui, Frédéric, tu avais encore une fois raison!).
Aux premières notes du générique chanté par François Deguelt, je me suis retrouvé en 1966, lorsque l'ORTF sortit cette série de quelques épisodes. J'aurais pu en chanter les paroles encore par cœur tant j'avais rêvé devant les aventures de ces héros et la beauté de Michel Le Royer (j'ai des excuses: je n'avais que treize ans!). Et puis me sont revenus en foule les souvenirs de ces moments passés devant d'autres feuilletons de ces années-là: Le Chevalier de Maison Rouge, du même Claude Barma, Le temps des Copains, Vive la vie, La Caravane Pacouli, et tant d'autres que j'oublie maintenant.
Malheureusement, en publiant mon article, je me rends compte que la vidéo des Corsaires n'est pas disponible, alors que l'on peut la visionner sur Youtube. je ne comprends pas! Alors, ce sera L'Homme du Picardie, malgré tout. Mais allez la voir vous-mêmes à cette adresse: http://www.youtube.com/watch?v=xGb1h9G9sVM.
mercredi 9 février 2011
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4 commentaires:
Toute une époque ce feuilleton qui me rappelle bien ses souvenirs !
Et que dire des vieux bus parisiens et du camion "Picon" qui arrive derrière le bus ! :-)
Va voir à l'adresse que j'indique: cela te rappellera certainement beaucoup de souvenirs aussi, Discrète
Marrante, cette note en transition parfaite avec la précédente que j'ai commentée : mon frère avait "les Corsaires" en livre dans la collection Dauphine, et au lieu de dessins, c'étaient des photos de la série, qu'il y avait.
Si tu es sage, je pourrais même le récupérer pour toi. Au cas où ça t'intéresse, bien sûr.
Why not, dear.
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