- Soirée d'hier avec François-Jean. Arrivé en retard chez lui, moi qui suis toujours à l'heure. Comme une fatalité. M'a reçu tout en poils, torse nu. Heureux de le retrouver. Comme une fatalité aussi. Fourmillement de la parole, entre rires et sérieux. Avons décidé de nous revoir, car la conversation n'est pas terminée!
- En sortant de chez lui, j'entends: "Tiens, mon ami!". C'était le jeune étudiant d'histoire qui tient une caisse à Casino le samedi. Accompagné d'une bande de copains. Ils venaient de manger et surtout boire et avaient bien l'intention de poursuivre. Il est resté un moment avec moi, surpris que je connaisse les "poppers" qu'ils baladaient avec eux et dont il m'a proposé. C'était du vrai, l'interdiction en France ayant été levée. Quand ses amis ont disparu au bout de la rue, il a fallu qu'il les rejoigne. Nous nous étions tutoyés, peu s'en est fallu que la bise vienne. Samedi, je ne serai pas là, mais le suivant.
- Reçu aujourd'hui une carte de J., de Bretagne. Une carte avec des mots simples, tout bêtes, de ceux qui font plaisir, qui touchent.
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8 commentaires:
J'aime bien le passage avec l'étudiant en histoire :)
J'ai comme le pressentiment d'une suite...
L'avenir le dira, Nicolas. Il doit en effet partir à la fin du mois à Paris pour terminer ses études.
À suivre, donc!
J'aurais l'impression d'un inceste avec mon fils (presque mon petit-fils)!
Inceste aggravé par la prise de poppers... récemment relégalisé par un gouvernment trop laxiste sur les moeurs...
Turpitudes.... dépravation.... Mon Dieu... dans quel monde vivons-nous....
J'aime beaucoup le commentaire de Lancelot. Ce blogue devient peut-être un peu trop « adulte » pour mes yeux innocents.
Même des poppers! Qui aurait pu imaginer que la mission civilisatrice en arriveraient là? ;-)
Arriverait, pas arriveraient!
Tu vois ce que je veux dire? Lecture de ce blogue = fautes de conjugaison!
Thom et Lancelot, vous n'êtes que deux hypocrites! J'ai des preuves!
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