jeudi 25 janvier 2024

Le pouvoir des ténèbres

Entre Connollly et Connelly, il n'y a qu'une lettre de différence. Mais, pour l'intérêt de leurs polars, il y a un monde ! En tout cas avec ce Connolly-là. Le début du prologue est assez bizarre, ésotérique,  mais pourquoi pas : beaucoup d'auteurs aujourd'hui accrochent le lecteur comme ça. Ensuite on plonge assez rapidement dans l'affaire : tant mieux. Et puis, on se lasse : trop de personnages, trop de descriptions de personnages, trop d'itinéraires routiers patiemment expliqués (là, Connely fait un peu la même chose...), Mais surtout une intrigue trop accrocheuse par l'accumulation d'horreurs  et finalement pas crédible car grand-guignolesque. 

Je n'avais jamais pu finir Les Puissances des Ténèbres de Burgess (qui, hormis la proximité du titre, n'a rien à voir). J'ai fini celui-ci, mais leur pouvoir ne m'a vraiement pas convaincu !

(John Connolly, Le Pouvoir des Ténèbres. Ed. Presses de la Cité. Trad.de Jacques Martinache.)

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