mercredi 8 février 2012
Nirlandais.
Un kir (deux?), une simple soupe de poisson, avec rouille et croutons, une meringue au chocolat. Dehors, le froid. La chaleur du salon et de la complicité, à partager des cigarettes. Un café bouillant, il est déjà l'heure de repartir. Le blanc du pull irlandais disparaît sous le manteau noir. La pause est finie. Nous nous reverrons vendredi.
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4 commentaires:
Les instants en hiver ont parfois des parfums d'éternité
Nicolas: tu as fort bien compris ce que je ne dis pas.
Tendresse. En effet.
Georges: et chaleur.
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