Encore un Camilleri. Mais un peu à part, celui-ci. L'histoire de jeunes garçons qui deviendront des hommes et de leurs "rapports" avec la pension Eva, un lupanar renommé dans leur ville. En le lisant, je me disais: Camilleri prend des vacances, il se fait plaisir. Et voilà ce que je lis dans sa brève postface:
" Cet écrit entend être simplement des vacances narratives que je me suis offertes au seuil de mes quatre-vingt ans. Ce n'est pas un récit historique ni un récit policier, c'est un récit heureusement inqualifiable."
Fier qu'il était, le Callyste, d'avoir "senti" juste! Et toujours le même plaisir à le lire.
(Andrea Camilleri, La Pension Eva, Ed. Métailié. Trad. de Serge Quadruppani.)
vendredi 10 février 2012
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3 commentaires:
Un fin limier, le Calyste !
Cornus: tu en doutais?
Non, bien sûr.
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