Aujourd'hui, la parole aux anticléricaux (ou presque) !
- La Marseillaise anticléricale, ou Chant des électeurs, (1881), de Léo Taxil, grand mystificateur qui aurait baigné dans son jus à notre époque de fake news.
-La Messe au pendu, un Brassens assez méconnu.
- La Religion, par Jacques Debronckart.
- Le Sabre et le goupillon, Jean Ferrat. J'ai ce disque, avec cette pochette, depuis mon enfance et j'en connais, depuis l'enfance, les paroles par cœur. Je ne me pose qu'une question : comment ma mère me permettait-elle d'écouter cette chanson ? Pour mon père, je sais.
In memoriam à ce prêtre qui, à la mort de ma petite sœur de 11 ans (j'en avais 18), avait trouvé pour me consoler ces mots inoubliables : "Tu la retrouveras au paradis"..... A l'époque, en me disant ça, il m'avait fait prendre le chemin inverse.
jeudi 16 avril 2020
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4 commentaires:
"A l'époque, en me disant ça, il m'avait fait prendre le chemin inverse." c'est à dire?
Je ne connais la première (depuis peu il me semble), la deuxième et bien plus encore la quatrième, mais pas la troisième, ni l'interprète il me semble.
Quant au commentaire du curé à la mort de ta petite sœur, de quoi avoir envie de l'étrangler (au minimum).
je voulais dire, ça a été de courte durée ...
Karagar : en es-tu sûr ? Moi à moitié. En tout cas, ça ne pourra jamais être comme c'était.
Cornus : moi, je ne connaissais ni La Marseillaise anticléricale (entendue sur France Inter le matin-même), ni La Religion, même si je connaissais Debronckart.
Le curé, je n'éi jamais pu lui pardonner une telle connerie.
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