dimanche 30 juin 2024

Prévisions météorologiques

Je n'ai jamais vu autant de limaces sur les chemins et, aujourd'hui, autant de gens aller voter. J'ai dû faire plus de dix minutes de queue avant d'entrer dans l'isoloir. Alors orage ou éclaircie ? 

La chanson d'amour du dimanche

Or, encens et poussière

Valerio Varesi, son commissaire Soneri et les dessous de la ville de Parme. Je dois hélas dire que je n'ai pas été enthousiasmé par ce polar qui a de bons moments mais que j'ai trouvé trop souvent répétitif. 

(Valerio Varesi, Or encens et poussière. Ed. Agullo. Trad. de Florence Rigollet.)

On part ailleurs ? (6)

Et puis, soyons fous, pendant que nous sommes dans le coin, une autre visite : Chapaize (Saône-et-Loire) et son prieuré Saint-Martin. 

L'église prieurale date  de la première moitié du XI° siècle. Cette église est l'unique vestige d’un prieuré de bénédictins fondé au Xe siècle qui dépendait de l’abbaye Saint-Pierre de Chalon-sur-Saône, elle-même en association de prières avec l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun. Sa construction  débuta à la suite du passage du moine bâtisseur lombard Guillaume de Volpiano en 1021 et 1023, venu s'occuper du monastère Sainte-Marie de Chalon en mauvais état.

La grande renommée de cette église est due à l'originalité de son clocher roman du XIe siècle. Celui-ci domine la campagne environnante du haut de ses 35 mètres ; il est percé de baies jumelées sur ses deux étages supérieurs et a la forme d'un tronc de pyramide de plan barlong. Il est implanté au-dessus de la croisée du transept et est entièrement construit en petit appareil calcaire.

La nef fut construite vers 1030. La voûte romane du vaisseau central, en plein cintre, qui menaçait de s'écrouler, fut remplacée en 1543 par une voûte en berceau brisé légèrement plus élevée. En 1954, les quatre piles rondes supportant l'énorme clocher menaçaient de s'effondrer. Elles furent entièrement démontées et refaites en béton armé, garni extérieurement des moellons d'origine remis en place.















En redescendant sur Lyon, peu à peu le ciel devient menaçant. En arrivant du côté de Belleville, je crois, nous constatons les dégâts d'un fort orage de grêle (routes inondées, feuilles des arbres déchiquetées). Certaines vignes ont, paraît-il, été sévèrement touchées.

samedi 29 juin 2024

Coïncidences

Aujourd'hui, c'est la saint Pierre. Tout à fait par hasard, je publie un article sur l'église Saint-Pierre de Brancion. Et je rencontre par hasard une très ancienne amie, Gisèle, que je croyais repartie dans sa Bretagne natale et pas vue depuis plus de dix ans. Nous avons passé tout l'après-midi ensemble, à nous remémorer la communauté de la rue Vendôme, tous ces gens aujourd'hui éparpillés un peu partout. Mais certains sont encore dans les environs de Lyon. Et nous avons convenu de nous retrouver à la fin de l'été pour fêter ces retrouvailles. Encore un truc qui ne va pas me rajeunir ! J'avais à peine vingt ans à l'époque. L'une était (et est toujours) poétesse, une autre travaillait aux Antiquités Historiques, un autre était archéologue, un autre travaillait dans le BTP et le dernier était représentant pour une grande marque de soutien-gorge !

On part ailleurs ? (5)

Vue depuis St-Pierre de Brancion, la Chapelle-sous-Brancion (hélas fermée, donc nous ne verrons pas les peintures murales !)). L'église N-D de l'Assomption date de la seconde moitié du XII°. (nef en partie reconstruite en 1893). 





On part ailleurs ? (4)

Un peu plus sur Brancion :

On part ailleurs ? (3)

Brancion : 

A deux pas de Tournus, Brancion, que je ne connaissais pas, sinon de loin. Nous ne visiterons pas le château  mais seulement le village et son église St-Pierre (XII° siècle)





La vieille halle



Eglise saint-Pierre





Fresques XIV° (siècle)

















Jardin d'un artiste (en-dessous du village)