jeudi 12 décembre 2024

Et la Fête des Lumières, alors ! (3)

Enfin, pour finir la journée, passage par le parc Blandan, aux attractions traditionnellement destinées aux enfants.











Et la Fête des Lumières, alors ! (2)

Ensuite, toujours le samedi soir, direction l'ancienne Manufacture des Tabacs. En principe, c'est pas mal là-bas. Le thème de cette année : le cinéma (ce qui n'est pas toujours évident sur mes photos).

















Et la Fête des Lumières, alors ! (1)

Le temps était plutôt chagrin pour les quatre soirs concernés. J'y suis donc allé à l'économie en allant, le samedi au plus près de chez moi. Sur le chemin de l'Auditorium, rencontré deux suissesses du Valais venus tout exprès et cherchant leur chemin. Sympas comme tout : la conversation a duré près d'une heure et, en les quittant, leur ai conseillé d'aller directement dans la presqu'île. A l'auditorium, très déçu par ce qui était présenté : deux-trois babioles très sombres dans le hall. Temps de la visite : cinq minutes maxi.








mercredi 11 décembre 2024

Le théâtre de Clochemerle

A Clochemerle

Il s'agit en fait du village de Vaux-en-Beaujolais, mais on le connait mieux sous le premier nom grâce au roman (hilarant) de Gabriel Chevallier (né à Lyon en 1895) narrant les débats acharnés des habitants (les pour et les contre) au sujet d'une pissotière devant être installée près de l'église. 

Les 28 et 29 juillet 2007 eurent lieu à Vaux-en-Beaujolais (le nom officiel de Clochemerle) la 5e rencontre des communes aux noms burlesques et chantants de France.


Clochemerle est dotée d'armoiries imaginaires qui se blasonnent ainsi :

D'argent à une vespasienne de sinople sommée d'une cloche de gueules, accostée de deux merles affrontés de sable becqué aussi de gueules, perchés sur les parois latérales de la vespasienne.

Gabriel Chevallier, en personne, a inauguré en octobre 1956, la plaque attribuant son nom à l'ancienne grande rue.

Et même si le bourg était, ce jour-là, très calme, nous nous sommes bien amusés (et cultivés) avec les scènes d'un théâtre derrière une vitrine, le Musée Gabriel Chevallier, la présence d'œuvres du dessinateur humoristique Albert Dubout et les "jardinières parlantes" (on appuie sur un bouton et on entend des comédiens lire des extraits du roman. 

Et, en fin de compte, l'église est fermée et c'est la pissotière, toujours présente, qui a gagné



Eglise St-Martin

Musée Gabriel Chevallier