dimanche 26 mars 2023

Retour dans la nuit, à pied




En marge du vernissage

Arrivé très tôt, j'ai eu le temps, avant le vernissage, de faire un peu le tour du quartier, notamment du "dos" de la gare de Perrache et des anciennes prisons Saint-Paul et Saint-Joseph.
Saint-Paul (2°)

Saint-Paul (2°)

Saint-Paul (2°)

Saint-Joseph (2°)

Saint-Joseph (2°)

Saint-Joseph (2°)

Perrache (2°) (Je suis un boomer mais n'ai pas de retraite géante !)

Perrache (2°)

Perrache (2°)

Kobra

Ce livre m'avait été donné par ma vieille voisine, décédée depuis. Elle l'avait choisi parce qu'il était "écrit gros". Depuis le temps qu'il attendait ! Je l'ai donc lu.  J'avais déjà avalé un autre roman de cet auteur sud-africain. Et je peux dire que je ne suis pas séduit comme je le suis par exemple par Indridason ou Mankell. Ça se lit, sans déplaisir mais ans grand enthousiasme.

(Deron Meyer, Kobra. Ed. du Seuil. Trad. de Estelle Boudet.)

Liberté pour les sculptures !

Après les Mécanos, le mardi 21, je filai à pied jusque derrière Perrache pour le vernissage de l'expo d’Émilie Tolot : Sculpture en liberté. Émilie Tolot, c'est cette jeune femme simple et discrète que j'ai découverte grâce à Mireille et dont j'avais vu certaines œuvres près de Saint-Nizier il y a quelques mois. 

Ayant laissé mon adresse mails, j'ai cette fois reçu une invitation en bonne et due forme et je n'aurais raté ça pour rien au monde.  Pas pour le vin et les petits fours : je n'aime guère les vernissages qui, parfois, prennent un côté trop mondain pour moi. J'aime apprécier ce que je vois sans grands mots ni bousculades. J'ai eu cette chance en arrivant en avance. 

L'expo se tient jusqu'au 12 mai au campus de l'UCLY (université catholique de Lyon), derrière les voûtes de la gare, dans les locaux bellement rénovés de l'ancienne prison saint-Paul. Je n'ai malheureusement pas pris de vidéos (les films montrent les statuettes en mouvement) : uniquement des photos. Émilie Tolot, à travers son art, dit vouloir simplement "traduire une émotion". elle y réussit parfaitement.











Mourad Merzouki, danseur, chorégraphe et ami d’Émilie Tolot.












La chanson d'amour du dimanche

vendredi 24 mars 2023

Logique, non ?

Du droit de grève en France : - "Qui, du patron ou de l'ouvrier crève la  France, et pourquoi ?" | Le Club

Et pourquoi pas la peinture ? (224)

Encore un thème d'actualité : les ouvriers.

Le Maçon blessé (1886-87), Francisco de Goya (Musée du Prado, Madrid)
La Filandière (1863), Gerolamo Induno(Galleria d'Arte moderna, Gênes)

La Grève de Londres (1889), Plinio Nomellini(Caisse d’Épargne, Tortona)
La Coulée à Ougrée(vers 1885-90)), Constantin Meunier (Musée de l'Art wallon, Liège)
L'Ouvrier (1922-23), Heinrich Hoerle (Collection privée)
Giuseppe Pellizza da Volpedo: The Fourth Estate
Le Quart-Etat (1901), Giuseppe Pellizza (Galleria d'Arte moderna, Milan)

L'internationale (1929-30), Otto Griebel ( Deutsche Historisches Museum, Berlin)
Intérieur d'un atelier de canut de la montée des Epies.
Intérieur d'un atelier de canuts de la montée des Épies (XIX°), Alexix Balthazar (Musée Gadagne, Lyon)
L'ouvrier artisan - Histoire analysée en images et œuvres d'art |  https://histoire-image.org/
Les Raboteurs de parquet (1875), Gustave Caillebotte (Musée d'Orsay, Paris)

 

Peindre le travail ouvrier - Histoire analysée en images et œuvres d'art |  https://histoire-image.org/
Le Coltineur de charbon (1882), Henri Gervex (Palais des B-A, Lille)