mardi 30 juin 2020

Pour vous faire une idée

La Corsa (ou Festa) dei Ceri à Gubbio l'an dernier. Je doute qu'elle ait eu lieu cette année !


Le Cerveau de Kennedy

Je me demande si Henning Mankell n'est pas en train de devenir mon auteur de polars préféré. D'abord parce que ses romans ne sont jamais que policiers et qu'il attache visiblement une énorme importance à la psychologie de ses personnages. Ensuite parce que les sujets qu'il aborde sont extrêmement variés et presque toujours en lien avec son humanisme angoissé par l'indignité sociale ou géopolitique.

C'est encore le cas de celui-ci où le suicide (ou le meurtre ?) du fils d'une archéologue n'est qu'un prétexte à découvrir l'Afrique et les magouilles liées à la recherche d'un vaccin contre le sida. J'ai lu ça avec, en tête, les péripéties autour d'un virus plus actuel.
(Henning Mankell, Le Cerveau de Kennedy. Ed. du Seuil. Trad. de Rémi Cassaigne.)

Bonne fête

Bouquet de pivoines

Le 30 juin, c'est la saint Martial, tout le monde le sait. Mais quelle honte d'oublier tous les autres, qui n'apparaissent plus sur les calendriers. Pour réparer cette injustice, pensons tous à souhaiter une bonne fête aux Adèle, (ou Adilia), Adolphe, Basilide, Clotsinde, Erentrude, Gélase, Ladislas, Lucine, Ostian, Othon, Théobald, Ubald, Zénon. Je compte sur vous ! Enfin, si vous en connaissez !


Ubaldo fut évêque de Gubbio en Ombrie. Dans cette ville montagneuse, aussi connue pour son loup assagi par François d'Assise, la basilique qui lui est dédiée est le point d'arrivée de la Corsa dei Ceri, course qui s'y déroule chaque 15 mai.


Que de souvenirs heureux dans cette Ombrie moins artistiquement léchée que la Toscane et que je lui préfère. Assise, Gubbio, et surtout Perugia ... Et une grosse déception : une photo complètement ratée d'un champ de tournesols.

lundi 29 juin 2020

Et puis Barbara, bien sûr.

Que j'ai fini par lui faire aimer.


Un silence qui résonne

Pierre jouait de l'orgue et du piano. Peut-être pas aussi bien que Glenn Gould, mais, pour le piano,  c'était dans notre salon ... Le piano est toujours là, silencieux... Et, aujourd'hui, c'est la saint Pierre.

C'est à vous

A vous, si cela vous dit, de mettre sous cette photo un titre, une phrase ou un petit texte qu'elle vous aurait inspiré. (Vous pouvez l'agrandir en cliquant dessus.)


dimanche 28 juin 2020

Merci


Il y a quinze ans, le 28 juin, je sortis de la clinique vers les neuf heures du matin. Je ne savais pas que c'était la dernière nuit que je venais d'y passer, semblables aux précédentes, couché sur un matelas au sol d'où, réveillé en sursaut, je voyais se déplacer la garde de nuit, une ogresse qui ne prenait aucune précaution et dont la silhouette massive, dans la pénombre, m'effrayait comme celle des contes de mon enfance. Plus tôt ou plus tard, c'était l'alarme du matelas anti-escarres  qui, régulièrement, se dégonflait et que, régulièrement, il fallait arrêter, qui me sortait de la torpeur qui me servait de sommeil.

On m'avait assuré qu'il ne se passerait rien ce matin-là, que je pouvais partir tranquille et rentrer chez moi un moment pour me doucher et me reposer. J'avais repris le chemin que je prenais depuis des mois, toujours le même, les rues que ma voiture connaissait et qu'elle suivait comme par automatisme, sans que j'ai grand chose à décider. Il y avait longtemps que je ne décidais plus de rien.

Vers onze heures, alors que je venais d'acheter quelque chose à manger, mon téléphone avait sonné dans ma poche. Au fond de moi, je savais déjà. On m'apprit la mort de Pierre, quelques instants auparavant. Moi aussi, je rentrai en automatisme, pour de longs mois.

Les jours suivants se passèrent sans que j'y prenne vraiment part. On me parlait, je répondais, je décidais pour la tombe, pour la cérémonie des funérailles, pour l'inhumation, pour les mots que j'allais dire depuis le chœur à ceux qui étaient venus. Mais c'était l'autre qui agissait, pas moi. Je ne me souviens pas aujourd'hui des gens présents à la cérémonie, je ne les ai pas vus. C'est l'autre qui les avait remerciés. J'étais revenu un seul moment, un seul, lorsque Christophe devant la tombe où nous étions restés tous les deux seuls m'avait, sans un mot, serré dans ses bras. Sa chaleur était humaine, animale, j'avais besoin de ça, uniquement de ça.

Après ces premiers jours, après les visites chez le notaire, je sombrai dans le noir, seul chez moi. Je me dis que ma vie, ma vraie vie, s'était arrêtée là, dans la chaleur d'un début d'été. Que me restait-il sans les pas derrière la porte lorsque je rentrais du travail, puis sans le rituel travail-clinique chaque soir, sans le dernier message sur le répondeur où il me souhaitait un bon dimanche de Pâques en famille et qu'une panne avait effacé ? Un fauteuil vide dans le salon, à côté du mien, une chambre où j'avais peur d'entrer, des placards remplis de souvenirs que je mis des mois à ressortir, une tombe où j'avais envie de m'étendre, sans plus jamais bouger.

Et puis, il y eut d'autres jours, d'autres nuits sans rêves d'abord, de nouvelles rencontres, des joies qui me faisaient honte, des déceptions, des amis qui s'éloignaient (on n'aime pas fréquenter de près la mort), des résolutions qui me servirent de point d'appui pour remonter à la lumière. Surtout ne pas sombrer, ne pas ajouter une autre mort à la mort.

Il y eut la course à pied, seul sur les chemins de campagne (quelquefois, je rentrais, persuadé que Pierre serait là et que nous prendrions l'apéritif avant de manger un de ses gratins), il y eut mon père qui me donna son appareil photos sans savoir qu'il m'ouvrait une porte par où j'allais respirer un nouvel air, il y eut ce blogue dont je me servis comme d'une thérapie, me parlant chaque soir à moi-même, remettant de l'ordre tout en tuant le temps.

Des inconnus sont venus le lire, m'ont laissé des messages, m'ont fait partager des éléments de leur existence. Les mots sont des cordes qui nous hissent. Certains de ces inconnus ont disparu au fil des années, d'autres sont encore là, j'en connais certains que je vois parfois. Il y eut Nicolas, muet maintenant, Danielle, la grande âme qui savait trouver les mots justes, Christophe que j'avais tant apprécié à paris, d'autre dont j'ai oublié le nom, il y a encore Cornus, Plume, Karagar, Petrus, et des nouveaux, Isabelle, Daniel, Câo, et le petit dernier, Pippo.

C'est eux que je voudrais remercier aujourd'hui, quinze ans après ce jour où il faisait chaud et où, pour la dernière fois, j'ai dit merci à Pierre même s'il ne pouvait plus m'entendre. Merci pour tout, merci des riens grâce auxquels je me suis reconstruit peu à peu, pas à pas. C'est un trésor inestimable que vous m'avez légué. Merci.

samedi 27 juin 2020

Parallèles

Scènes inspirées par celle des Escaliers d'Odessa dans le film d'Eisenstein, Le Cuirassé Potemkine (1925)

Avez-vous pensé à réserver pour vos vacances ?

Honfleur : une rétrospective des dessins d'Albert Dubout au ...
Dessin de Albert Dubout

Ca s'est passé un 27 juin.

- 1462 : naissance du roi Louis XII à Blois.
- 1789 : Louis XVI officialise l'Assemblée nationale constituante et, de fait, la Révolution.
- 1894 : trois jour après l'assassinat de Sadi Carnot à Lyon, Jean Casimir-Périer est élu président de la République.
- 1905 : une mutinerie éclate à bord du cuirassé Potemkine.
- 1915 :  décès à Moscou du compositeur Scriabine.
- 1940 : Churchill reconnait le général de Gaulle comme chef des Français libres.
- 1956 : adoption par le gouvernement français du principe d'une vignette automobile.
- 1970 : décès de Pierre Mac Orlan.
- 1972 : signature du programme commun de gouvernement entre les partis de gauche.
- 1976 : décès du dessinateur humoristique Albert Dubout.
- 2002 : Kofi Annan est réélu secrétaire général de l'ONU.

vendredi 26 juin 2020

Et pourquoi pas la peinture ? (106)

L'épisode de l'arbre généalogique m'a suggéré le thème de ce billet.

Le vieux guitariste aveugle
Le vieux Guitariste aveugle (1903), Pablo Picasso (Art Institute, Chicago)
File:Pierre-Auguste Renoir - Autoportrait 5.JPG
Autoportrait (1910) , Pierre-Auguste Renoir (Collection particulière)
Le vieux Musicien (1862), Édouard Manet (National Gallery of Art, Washington)

La mère de l’artiste
La Mère de l'Artiste (?), Pablo Picasso (Musée Picasso, Barcelone)

COURTISANE ET VIEILLARD / L. CRANACH l'ANCIEN Courti10
Courtisane et vieillard (1530), L. Cranach l'Ancien (Musée et des Beaux-Arts, Besançon)

Agrandir l'image jpg 185Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Tête de vieillard (1553-54), Frans Floris (Musée des Beaux-Arts, Quimper)
Albrecht Dürer (1471-1528) Vieillard 1520 (Paris) | Art de la ...
Vieillard (1520), Albrecht Durer (Musée du Louvre, Paris)

Portrait d'un vieillard et d'un jeune garçon peint par Domenico Ghirlandaio
Portrait d'un vieillard et d'un enfant (1490), Domenico Ghirlandaio (Musée de Louvre, Paris)

Deux vieillard mangeant de la soupe, par Francisco Goya
Deux vieillards mangeant de la soupe (1819-1823), Francisco Goya (Musée du Prado, Madrid)

Les trois Ages de la femme et la mort (1510), Hans Baldung (Musée de Vienne)

Vieil Homme triste (1890), Vincent Van Gogh (Musée Kröller-Müller, Otterlo)

«Suzanne et les vieillards», 1727.
Suzanne et les vieillards 1727), Jean-François de Troy (Musée des Beaux-Arts, Rouen)
Étude de tête d'homme (1616-1619), Pierre Paul Rubens (Musée des Beaux-Arts, Budapest)

Portrait de la tante Pepa (1896), Pablo Picasso (Musée Picasso, Barcelone)

Vieux pêcheur 1895), Pablo Picasso (Musée, Montserrat)
Camille Saint-Sens
Camille Saint-Saëns (1903), Alberto Rossi (Bibliothèque nationale de France, Paris)
Portrait d'un homme (Le Greco) — Wikipédia
Autoportrait  (1590-1600), El Greco (Metropolitan Museum of Art, New-York)

Buste de vieillard (1798), François-André Vincent (Musée des beaux-Arts, Lons-le-Saunier)

Henri Deturck,
Tête d'étude (?), Henri Deturk (Musée des Augustins, Toulouse)

Self-portrait of Titian.jpg
Autoportrait (1546-47), Titien (Gemäldegalerie, Berlin)   
File:Turgenev by Repin.jpg
Portrait de Tourgueniev (1874), Ilia Répine (Galerie Tretiakov, Moscou)

jeudi 25 juin 2020

Et pour être complet

La même, vingt-six ans plus tard.


Et un peu de musique, ça vous dirait ? (287)


Le septième Fils

L'autre auteur de polars islandais, c'est Arni Thorarinsson, découvert pour moi bien après Indridason.

J'ai eu du mal à accrocher, je dois le dire. Comme d'habitude à cause des noms propres des protagonistes (aux nombreuses consonnes) mais plus encore que d'habitude à cause de leur nombre important. Et puis le roman est écrit au présent, ce qui, je ne sais pas pourquoi, me gêne toujours un peu. Sans doute parce que j'ai été scolairement formé dans le respect absolu du sacro-saint passé simple ....

Mais on s'y fait assez vite. Un bon roman situé dans une petite ville perdue dans des contrées désertes et froides.
(Arni Thorarinsson, Le septième Fils. Ed. Métailié. Trad. de Eric Boury.)

De la Normandie à la Belgique

Hier, petite virée dans la Loire, près de Saint-Étienne, chez la sœur de ce cousin germain de mon père mort peu de temps avant le confinement. Elle voulait me donner un arbre généalogique établi par son père (mon grand-oncle donc). J'apprécie !

J'avais déjà vu ce document il y a des années et me demande pourquoi c'est à moi qu'elle a décidé de le confier. Mon grand-oncle avait pu remonter jusqu'en 1859, date de décès de l'ancêtre commun côté paternel. Ça aussi, je le savais déjà mais la cousine m'a appris les raisons de ces recherches. Les houillères voulaient indemniser les propriétaires des terrains qui avaient subi des dommages suite au percement des galeries de mine souterraines, comme des effondrements par exemple et mon grand-oncle avait été chargé de retrouver ces propriétaires sans erreur possible.

La généalogie s'arrête à ma génération. Si je la complète un jour, il y a du boulot, urgent pour les générations postérieures dont je ne connais pas tous les membres (la cousine est la seule à pouvoir me renseigner et elle a déjà quatre-vingt ans) , un peu moins pour les aïeux d'avant 1859. Il est possible que ces gens-là soient venus de Normandie (d'après l'origine de mon nom)  mais, lors de mon voyage là-bas, je n'en avais trouvé aucune trace (du moins sur les monuments aux morts).

Et la cousine a lancé une nouvelle piste : il sont nombreux, dans le Nord et en Belgique, à porter ce nom ! On verra si j'ai le courage de me lancer sérieusement sur cette piste.

mercredi 24 juin 2020

Existe aussi pour homme


Et pour être complet.





Musique et cinéma

My Fair lady (1964, de George Cukor, avec Audrey Hepburn et Rex Harrison. Musique : FrederickLoewe. (Audrey Hepburn est doublée pour la voix par Marni Nixon).

Un morceau bien connu :



Mais aussi :

mardi 23 juin 2020

La Fair Lady

Hier vu avec plaisir My Fair Lady  (1964), de George Cukor, avec Audrey Hepburn et Rex Harrison.
Un petit potin :  Pour My Fair Lady, Rex Harrison espérait reformer le duo qu’il l’avait rendu célèbre avec Julie Andrews  à Broadway (le film est tiré d'une comédie musicale portant le même titre). Mais cette dernière fut écartée par manque d’expérience au cinéma. La Warner ne voulut prendre le risque de faire reposer son projet sur une simple actrice de théâtre. Le rôle d’Eliza Doolitle revint donc à Audrey Hepburn. L’actrice parvint à venir à bout des réticences de Rex Harrison. Si elle avait refusé ou abandonné le projet,My Fair Lady serait revenu à Elizabeth Taylor...
On peut aussi ajouter que Rex Harrison a bien failli ne pas avoir le rôle dans le film : le premier acteur à avoir été approché fut ... Cary Grant !

Audrey et la salade

Voici ce que confie Sofa Loren sur Audrey Hepburn dans son autobiographie Hier, aujourd'hui et demain :
En 1957, nous passâmes les fêtes de Noël dans la paix enneigée de Bürgenstock (...). Nous avions pour voisins Audrey Hepurn et Mel ferrer (...). Un jour que Mel était absent pour raisons professionnelles, Audrey nous invita à déjeuner (....). Et voici qu'arriva l'entrée - c'est du moins ce que je me dis en voyant arriver le plat : une feuille de laitue et une coquille de fromage frais surmontée d'une pointe de compote de framboises ; dans la petite assiette à côté, un pain croquant, d'un format minuscule. La conversation était agréable, et la compote de framboises encore davantage : mais lorsque l'on vint retirer nos assiettes, Audrey se leva de table et dit avec un de ses sourires légers, délicats, parfaits : " J'ai trop mangé !"Le déjeuner était donc fini. Soucieuse de me montrer diplomate, je lui répondis :C'était beaucoup et tout était exquis !" En réalité, je mourais de faim , et dès mon retour à la maison, je me fis un sandwich.

Bonne fête

Bouquet de pivoines

Le 23 juin, c'est la sainte Audrey (ou Edeltrude, ou Etheldrede)), tout le monde le sait. Mais quelle honte d'oublier tous les autres, qui n'apparaissent plus sur les calendriers. Pour réparer cette injustice, pensons tous à souhaiter une bonne fête aux Paule, Agrippna, Argula, Bily, Eustochios, Félix, Hidulphe, Libert, Nicetas, Onuphre, Walter, Zénon, Zéna. Je compte sur vous ! Enfin, si vous en connaissez !

J'en ris encore : imaginez la carrière de l'actrice si, au lieu de Audrey Hepburn,  elle s'était appelée Edeltrude Hepburn !!!

lundi 22 juin 2020

La ville en noir









C'est à vous

A vous, si cela vous dit, de mettre sous cette photo un titre, une phrase ou un petit texte qu'elle vous aurait inspiré. (Vous pouvez l'agrandir en cliquant dessus.)

dimanche 21 juin 2020

Help !

Quelqu'un connaîtrait-il le titre de la chanson que, bizarrement, je fredonnais dans la rue l'autre jour, une chanson apprise dans ma petite enfance et dont je ne me souviens que de ces quelques paroles ?

Y’avait Tine y’avait Chine
Y’avait Suzette et Martine
Ah! ah! Cath’rinette et Cath’rina
Y’avait la jeune Suzon,
La duchess’de Monbazon

Fêtons la musique

Un petit quiz musical, ça s'impose aujourd'hui ! 15 extraits d’œuvres classiques à reconnaître. Je vous entends déjà : je ne connais que ça mais qu'est-ce que c'est ? Personnellement, j'en ai reconnu 13 sur 15. Pour le 7 et le 8, j'ai eu un petit coup de mou. Pas vraiment facile : ça va assez vite !


L'Eté

Elle est bien pensive, la saison : déjà presque deux jours de passés !

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/87/Alfons_Mucha_-_1896_-_Summer.jpg?uselang=fr
L’Été, Alfons Mucha (1896)

Bonne fête à tous les pas papas !

Bouquet de fleurs à la branche de lierre par Douanier Rousseau, 1909.

samedi 20 juin 2020

Ca s'est passé un 20 juin

-  451 : Attila est battu aux Champs Catalauniques.
- 1492 : Martin Behaim réalise le premier globe terrestre.
- 1789 : le Serment du Jeu de Paume.
- 1791 : tentative de fuite de Louis XVI arrêté à Varennes. 
- 1819 : naissance de Jacques Offenbach.
- 1840 : brevet accordé à Samuel Morse pour l'invention du télégraphe électrique.
- 1889 : création de la Fête du Travail.
- 1899 : naissance de Jean Moulin.
- 1894 : Alexandre Yersin isole le bacille de la peste.
- 1936 : le Front Populaire généralise les congés payés.
- 1944 : assassinat de Jean Zay,  un des bâtisseurs de l'instruction publique.
- 1966 : fondation de SOS Médecins.
- 2006 : inauguration du musée du Quai Branly.

Récolte du jour

Quartier Préfecture :












Et de trois

Celle-ci pour les sans-papiers et contre les expulsions saisonnières.