L'autre auteur de polars islandais, c'est Arni Thorarinsson, découvert pour moi bien après Indridason.
J'ai eu du mal à accrocher, je dois le dire. Comme d'habitude à cause des noms propres des protagonistes (aux nombreuses consonnes) mais plus encore que d'habitude à cause de leur nombre important. Et puis le roman est écrit au présent, ce qui, je ne sais pas pourquoi, me gêne toujours un peu. Sans doute parce que j'ai été scolairement formé dans le respect absolu du sacro-saint passé simple ....
Mais on s'y fait assez vite. Un bon roman situé dans une petite ville perdue dans des contrées désertes et froides.
(Arni Thorarinsson, Le septième Fils. Ed. Métailié. Trad. de Eric Boury.)
jeudi 25 juin 2020
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5 commentaires:
En tout cas tu peux faire confiance au traducteur, le meilleur des meilleurs !
Moi maintenant je suis comme un poisson dans l'eau au milieu des noms islandais ! Enfin presque...Mais j'ai la chance d'avoir une prof du cru ! :)
faut bien avouer que le pays est difficile
et comme dit plumequivole le traducteur est excellent
Plume : sans doute. je le fréquente depuis déjà un bout de temps.
J'espère pour toi que l'eau n'est pas trop froides dans ces contrées du nord.
Câo : mais de plus attirant pour le touriste. J'espère qu'ils sauront s'en protéger.
Ah mais je n'y ai hélas jamais mis les pieds, et cela ne risque pas d'arriver, tout à fait hors budget ! J'ai mon Islandaise à portée, venue habiter en Bretagne. et comme nous co-traduisons, forcément j'apprends... et j'ai plein de goût.
Le tourisme, oui justement ils sont en train de réfléchir au problème, d'essayer de calmer le jeu. Pas simple.
Plume : c'était une blague ....
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