Ma première rencontre avec la musique "classique" fut, par ma mère, la valse viennoise et, particulièrement, chantée par Mady Mesplé. Il faut bien commencer par quelque chose ! Depuis, elle avait complétement disparu de mes radars.
Mady Mesplé (1931-30 mai 2020)
dimanche 31 mai 2020
Contrat de l'institutrice 1923
C'est Émile qui m'a fait découvrir ce petit bijou dont la lecture laisse pantois. La première partie concerne l'institutrice :
En vertu de la présente entente entre Mademoiselle ..........., institutrice, et le Conseil de l'éducation de l'école ..........., Mademoiselle .............. accepte d'enseigner à l'école ............. pendant une période de huit mois commençant le 1er septembre 1923. Le Conseil de l'éducation convient de verser à Mademoiselle ............ la somme de ........ par mois.
Mademoiselle ........... se conformera aux conditions suivantes :
I - Ne pas se marier, sans quoi le présent contrat sera annulé sur-le-champ.
II - Ne pas fréquenter d'hommes.
III - Ne pas sortir de la maison entre 8 h du soir et 6 h du matin, sauf pour des raisons liées à l'école.
IV - Ne pas traîner dans les bars laitiers du centre-ville.
V - Ne pas quitter la ville sans avoir reçu la permission du président du conseil scolaire.
VI - Ne pas fumer de cigarettes, sans quoi le présent contrat sera annulé sur-le-champ.
VII- Ne pas boire de bière, de whisky ou de vin, sans quoi le présent contrat sera annulé sur-le-champ.
VIII- Ne pas monter dans une voiture tirée par un cheval ou une automobile avec un homme autre que son frère ou son père.
IX - Ne pas porter de couleurs vives.
X - Porter au moins deux jupons.
XI - Ne pas se teindre les cheveux ni porter de maquillage.
XII - Ne pas porter de robe plus courte que deux pouces au-dessus du talon.
XIII - Garder la maison d'école propre, balayer le plancher de la classe au moins une fois par jour, frotter le plancher avec de l'eau chaude et du savon une fois par semaine, laver les tableaux au moins une fois par jour.
XIV - Allumer le feu dans le poêle à bois à 7 h pour que la classe soit suffisamment chaude à l'arrivée des élèves (8 h), et sortir les cendres au moins une fois par jour.
Et cela ne fait même pas cent ans !
( La suite, concernant les parents et les élèves, ce sera pour demain.)
En vertu de la présente entente entre Mademoiselle ..........., institutrice, et le Conseil de l'éducation de l'école ..........., Mademoiselle .............. accepte d'enseigner à l'école ............. pendant une période de huit mois commençant le 1er septembre 1923. Le Conseil de l'éducation convient de verser à Mademoiselle ............ la somme de ........ par mois.
Mademoiselle ........... se conformera aux conditions suivantes :
I - Ne pas se marier, sans quoi le présent contrat sera annulé sur-le-champ.
II - Ne pas fréquenter d'hommes.
III - Ne pas sortir de la maison entre 8 h du soir et 6 h du matin, sauf pour des raisons liées à l'école.
IV - Ne pas traîner dans les bars laitiers du centre-ville.
V - Ne pas quitter la ville sans avoir reçu la permission du président du conseil scolaire.
VI - Ne pas fumer de cigarettes, sans quoi le présent contrat sera annulé sur-le-champ.
VII- Ne pas boire de bière, de whisky ou de vin, sans quoi le présent contrat sera annulé sur-le-champ.
VIII- Ne pas monter dans une voiture tirée par un cheval ou une automobile avec un homme autre que son frère ou son père.
IX - Ne pas porter de couleurs vives.
X - Porter au moins deux jupons.
XI - Ne pas se teindre les cheveux ni porter de maquillage.
XII - Ne pas porter de robe plus courte que deux pouces au-dessus du talon.
XIII - Garder la maison d'école propre, balayer le plancher de la classe au moins une fois par jour, frotter le plancher avec de l'eau chaude et du savon une fois par semaine, laver les tableaux au moins une fois par jour.
XIV - Allumer le feu dans le poêle à bois à 7 h pour que la classe soit suffisamment chaude à l'arrivée des élèves (8 h), et sortir les cendres au moins une fois par jour.
Et cela ne fait même pas cent ans !
( La suite, concernant les parents et les élèves, ce sera pour demain.)
samedi 30 mai 2020
Ô, temps, suspends ton vol
C'est ce que j'ai ressenti vraiment lors des deux jours passés à Aix-les-Bains, au bord du lac du Bourget ! Une impression de grandes vacances, beaucoup plus longues, après toutes ces semaines en captivité ! Quand Émile m'a invité, j'ai vérifié que le trajet n'excédait pas les cent kilomètres autorisés. A peine un peu moins, à vol d'oiseau : le bonheur !
Aix, ça veut dire de la bonne cuisine avec produits maison, un jardin où il y a toujours quelque chose à faire, une chambre fraîche et isolée, les montagnes présentes mais pas écrasantes, et le lac dont Lamartine a célébré, à juste titre, la beauté.
Ça veut dire aussi un petit tour pas loin jusqu'à la coopérative pour faire provision de fromages, une truite pêchée dans le lac par un des rares pêcheurs autorisés et, cette fois, en plus, une conversation avec un neveu d’Émile sur la littérature : Camus et Tchekhov principalement (et les auteurs allemands)
Mais le bonheur absolu fut la cueillette des cerises sur l'arbre ! Un plaisir simple que je ne me souviens pas avoir connu depuis mon enfance ! J'étais justement heureux comme un gosse !
Aix, ça veut dire de la bonne cuisine avec produits maison, un jardin où il y a toujours quelque chose à faire, une chambre fraîche et isolée, les montagnes présentes mais pas écrasantes, et le lac dont Lamartine a célébré, à juste titre, la beauté.
Ça veut dire aussi un petit tour pas loin jusqu'à la coopérative pour faire provision de fromages, une truite pêchée dans le lac par un des rares pêcheurs autorisés et, cette fois, en plus, une conversation avec un neveu d’Émile sur la littérature : Camus et Tchekhov principalement (et les auteurs allemands)
Mais le bonheur absolu fut la cueillette des cerises sur l'arbre ! Un plaisir simple que je ne me souviens pas avoir connu depuis mon enfance ! J'étais justement heureux comme un gosse !
La dent du Chat |
Artichauts montés en graine |
La coopérative laitière |
Le tout petit marché |
Le doux paysage de l'Albanais |
Celles-ci étaient déjà tombées |
Premières groseilles |
Les arums du voisin |
Roses finissantes |
Hortensia débutant |
vendredi 29 mai 2020
Suffit que je tourne le dos !
Guy Bedos (1934-28 mai 2020).
Le père, passe encore. le fils, je ne supporte pas.
Le père, passe encore. le fils, je ne supporte pas.

Et pourquoi pas la peinture ? (102)
De retour de deux jours de vacances (encore à moins de 100 kms à vol d'oiseau, bien sûr), j'ai envie de montrer des sourires !
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Le Pied-bot, José de Ribera (1642) (Musée du Louvre, Paris) |
L'Entremetteuse, Gerrit Van Honthorst (1625) (Centraal Museum, Utrecht) |
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Le Contrat de vente, Quentin Metsis (XV°-XVI°) (Gemäldegalerie, Berlin) |
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Portrait du bouffon Gonella, Jean Fouquet (vers 1443) (Kunsthistorisches Museum, Vienne) |
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Le Démon riant, Katsushika Hokusa (1831) (Musée Guimet, Paris) |
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Le Garçon riant, Robert Henri (1910) (Museum of Art, Birmingham) |
Démocrite, Johannes Moreelse (vers 1630) (Centraal Museum, Utrecht) |
Fou riant, attribué à Jacob Cornelisz van OOstanen (vers 1500) (Davis Museum, Wellesley) |
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Le joyeux violoneux, Gerrit van Honthorst (1623) (Rijksmuseum, Amsterdam) |
La douzième Nuit, Jan Steen (1668) (Staatliche Museen, Berlin) |
Jeune garçon riant, Frans Hals (1625) (Mauritshuis, La Haye) |
jeudi 28 mai 2020
mercredi 27 mai 2020
A cause des gestes barrière
On ne peut plus se rouler de pelle mais on peut encore se prendre un râteau. Et, comme on se dit maintenant bonjour avec les pieds, pensons à la galoche !
C'était la pensée du jour ...
C'était la pensée du jour ...
Musique et cinéma
Si vous avez un coup de blues, regardez ce film, Victor Victoria (1982), de Blake Edwards, avec Julie Andrews et James Garner. Ça va vous redonner le moral.
In and out
- In (nés un 27 mai) :
Dee-Dee Bridgewater, chanteuse (1950), Louis-Ferdinand Céline, écrivain 1894), Bernard Fresson, acteur (1931), DASHIELL HAMMETT, écrivain (1894), Henry Kissinger, homme politique (1923), Christopher Lee, acteur (1922), René Panhard, industrie (1841), Georges Rouault, peintre (1871), Alain Souchon, chanteur (1944), Giuseppe Tornatore, réalisateur (1956).
- Out (morts un 27 mai) :
Umberto Agnelli, homme d'affaires (2004), Luciano Berio, compositeur (2003), Fernand de Magellan, navigateur (1521), Françoise de Montespan, marquise (1707), Jean-Claude Decaux, homme d'affaires (2016), Joseph-Simon Gallieni, militaire (1916), Robert Koch, bactériologiste (1910), Jawaharlal Nehru, homme politique (1964), NICCOLO PAGANINI, violoniste (1840), François Ravaillac, assassin (1610), Renato Salvaori, acteur (1988), François Weyergans, écrivain (2019).
Dee-Dee Bridgewater, chanteuse (1950), Louis-Ferdinand Céline, écrivain 1894), Bernard Fresson, acteur (1931), DASHIELL HAMMETT, écrivain (1894), Henry Kissinger, homme politique (1923), Christopher Lee, acteur (1922), René Panhard, industrie (1841), Georges Rouault, peintre (1871), Alain Souchon, chanteur (1944), Giuseppe Tornatore, réalisateur (1956).
- Out (morts un 27 mai) :
Umberto Agnelli, homme d'affaires (2004), Luciano Berio, compositeur (2003), Fernand de Magellan, navigateur (1521), Françoise de Montespan, marquise (1707), Jean-Claude Decaux, homme d'affaires (2016), Joseph-Simon Gallieni, militaire (1916), Robert Koch, bactériologiste (1910), Jawaharlal Nehru, homme politique (1964), NICCOLO PAGANINI, violoniste (1840), François Ravaillac, assassin (1610), Renato Salvaori, acteur (1988), François Weyergans, écrivain (2019).
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mardi 26 mai 2020
Et après l'amour ?
Un grand monsieur, toujours en vie (91 ans), injustement oublié. Il fut auteur-compositeur-interprète et travailla en particulier avec Édith Piaf.
Les clopes de la vie
Quand j'ai parlé du film Les Choses de la vie, j'ai oublié de dire combien j'avais été sidéré par le nombre de cigarettes qui y sont fumées. Dans presque toutes les scènes. Je dois vieillir car, au moment de la sortie du film, cela ne m'avait absolument pas marqué. J'ai pensé aussi qu'ils pouvaient se les payer à l'époque ....
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Bonne fête

Le 26 mai, c'est la Saint Bérenger, tout le monde le sait. Mais quelle honte d'oublier tous les autres, qui n'apparaissent plus sur les calendriers. Pour réparer cette injustice, pensons tous à souhaiter une bonne fête aux Eleuthère, Félicissime, Godon, Lambert, Pontien, Prisque (ou Prix), Simètre, Zacharias, Carpos. Je compte sur vous ! Enfin, si vous en connaissez !
Zacharias fut le 2éme évêque de Vienne, successeur de Saint Crescent.Il serait venu d'Asie Mineure avec lui. Il fut martyrisé à coup de pierres sur l'ordre du préfet romain Pompée au temps de l'empereur Trajan.
lundi 25 mai 2020
C'est à vous
A vous, si cela vous dit, de mettre sous cette photo un titre, une
phrase ou un petit texte qu'elle vous aurait inspiré. (Vous pouvez
l'agrandir en cliquant dessus.)
Les choses de la vie
J'ai hésité et puis j'ai cédé : hier soir, j'ai regardé le film de Sautet, Les Choses de la vie. Je ne me souvenais que d'une seule chose : le ralenti de l'accident de voiture de Piccoli. Non, une autre aussi : Piccoli et Romy Schneider à vélo. Double hommage donc que ce film : à Piccoli d'abord, à Dabadie, le scénariste, mort ce jour-là.
Très sincèrement, je pensais m'ennuyer un peu. Ce monde bourgeois pompidolien me paraissait bien suranné. Et puis, le charme a agi; principalement grâce à la qualité des interprètes : Piccoli, Schneider bien sûr mais aussi Léa Massari, Jean Bouise (le grand Jean Bouise) et Boby Lapointe dont la bétaillère est la cause de tout.
Et puis l'année de sortie du film : 1970. J'avais à peine dix-huit ans. J'étais allé au cinéma, une des premières fois, grâce à la gratte illicite que je me faisais sur la balance dans l'épicerie de mes parents. C'est sans doute un des premiers films que j'y ai vus, avec Le Passager de la pluie et Ma Nuit chez Maud.
1970 : j'habitais encore chez mes parents, à Saint-Étienne, pour peu de temps. Ma petite sœur vivait encore, pour peu de temps. Yvon vivait encore, pour peu de temps. Je ne connaissais pas encore Pierre, pour peu de temps. De Gaulle vivait encore, pour peu de temps. Le mur de Berlin séparait toujours les deux Allemagnes, pour quelques années encore. Un autre monde, vraiment, dont je me souviens, bien sûr, mais qui me paraît si loin aujourd'hui, car, juste après, ce fut le saut dans le vide.
Très sincèrement, je pensais m'ennuyer un peu. Ce monde bourgeois pompidolien me paraissait bien suranné. Et puis, le charme a agi; principalement grâce à la qualité des interprètes : Piccoli, Schneider bien sûr mais aussi Léa Massari, Jean Bouise (le grand Jean Bouise) et Boby Lapointe dont la bétaillère est la cause de tout.
Et puis l'année de sortie du film : 1970. J'avais à peine dix-huit ans. J'étais allé au cinéma, une des premières fois, grâce à la gratte illicite que je me faisais sur la balance dans l'épicerie de mes parents. C'est sans doute un des premiers films que j'y ai vus, avec Le Passager de la pluie et Ma Nuit chez Maud.
1970 : j'habitais encore chez mes parents, à Saint-Étienne, pour peu de temps. Ma petite sœur vivait encore, pour peu de temps. Yvon vivait encore, pour peu de temps. Je ne connaissais pas encore Pierre, pour peu de temps. De Gaulle vivait encore, pour peu de temps. Le mur de Berlin séparait toujours les deux Allemagnes, pour quelques années encore. Un autre monde, vraiment, dont je me souviens, bien sûr, mais qui me paraît si loin aujourd'hui, car, juste après, ce fut le saut dans le vide.
dimanche 24 mai 2020
L'homme-orchestre
Jean-Loup Dabadie (1938-24 mai 2020). Écrivain, journaliste, romancier, auteur de sketches et de chansons, auteur et metteur en
scène dramatique, traducteur, scénariste et dialoguiste. Elu à l'Académie Française en
![]() |
Changement de programme
J'avais prévu de me rendre aujourd'hui, avec ma sœur, sur la tombe de Pierre pour désherber. Elle avait pris hier une photo la montrant envahie, de coquelicots en particulier. Mais cimetière fermé (manque de personnel ?). Alors, repli sur le parc public voisin rouvert il y a peu. Nous n'étions pas les seuls à avoir eu cette idée.
Familles, joggers, trottineurs, promeneurs, il y en avait plein les allées et encore pire sur les pelouses, la plupart sans masque. La végétation, elle, en a profité pour s'étaler partout, les genets en particulier, tous en fleurs, et les sauges de Cornus. Nous avons fini par trouver un coin tranquille, mi ombre mi soleil et surtout à l'abri de vent.
Au retour, un nouveau tag, assez joli par rapport à d'autres, près de chez moi, sans doute du même auteur que ceux déjà photographiés près de Saint-Louis de la Guillotière.
Familles, joggers, trottineurs, promeneurs, il y en avait plein les allées et encore pire sur les pelouses, la plupart sans masque. La végétation, elle, en a profité pour s'étaler partout, les genets en particulier, tous en fleurs, et les sauges de Cornus. Nous avons fini par trouver un coin tranquille, mi ombre mi soleil et surtout à l'abri de vent.
Au retour, un nouveau tag, assez joli par rapport à d'autres, près de chez moi, sans doute du même auteur que ceux déjà photographiés près de Saint-Louis de la Guillotière.
samedi 23 mai 2020
Encore deux ou trois pas
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L'Age d'or, Lucas Cranach l'Ancien (vers 1530) (Alte Pinakothek, Munich) |
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Allégorie et effets du bon gouvernement, Ambrogio Lorenzetti (1338-1340) (Palais communal, Sienne) |
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Rue de village avec danse paysanne, Pieter Brueghel le Jeune, (?) (?) |
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Danse macabre, anonyme allemand (16°) (MET, New-York) |
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La Danse, André Derain (1906) (Collection particulière) |
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Bal Bullier, Sonia Delaunay (1913) (Centre Pompidou, Paris) |
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la Joie de vivre, Pablo Picasso (1946) (Musée Picasso, Antibes) |
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La Danse des esclaves attribué à Augustin Brunias (1770) (Musée d'Aquitaine, Bordeaux) |
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La Danse de la mariée en plein air, Pieter Paul Brueghel, Institute of Arts, Detroit) |
vendredi 22 mai 2020
Et pourquoi pas la peinture ? (101)
Allez, pour initier la deuxième centaine, je vous propose un petit tour de piste.
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La Danse au Moulin-Rouge, Toulouse-Lautrec (1890) (Museum of Art, Philadelphie) |
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Deux femmes dansant au Moulin-Rouge, Toulouse- Lautrec (1892) (Galerie nationale, Prague) |
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La Danse, Henri Matisse (1910) (Musée de l'Hermitage, Saint-Pétersbourg) |
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Danse des villageois italiens, Pierre-Paul Rubens (1636) (Musée du Prado, Madrid) |
La Leçon de danse, Pietro Longhi (vers 1741)) (Museo del Settecento Veneziano, Venise) |
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Danse à Bougival, Pierre-Auguste Renoir (1882) (Museum og fine Arts, Boston) |
Danse à la ville, Pierre-Auguste Renoir (1883) (Musée d'Orsay) |
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Danse à la campagne, Pierre-Auguste Renoir (1883) (Musée d'Orsay) |
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Danse des quatre bretonnes, Paul Gauguin (1886) (Neue Pinakothek, Munich)) |
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Le Chahut, Georges Seurat (1889) (Musée Kröller-Müller, Otterlo) |
Décapitation de Jean Baptiste et danse de Salomé, Benozzo Gozzoli (1461-62) (National Gallery of Art, Washington) |
![]() |
Danse étrusque, Tombe du Triclinium, Tarquinia) |
La Classe de danse, Edgar Degas (1871-74) (Musée d'Orsay, Paris) |
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