mercredi 31 août 2022
Et pourquoi pas la peinture ? (196)
Aujourd'hui, ça s'impose : les peintres russes.
 |
| Saint Paul (1410-20) Andrei Roublev (Galerie Tretiako, Moscou) |
 |
| Portrait d'Ida Rubinstein (1910), Valentin Serov (Musée russe, Saint-Pétersbourg) |
 |
| La place du marché de Vitebsk (1917), Marc Chagall (Metropolitan Museum of Art, New York) e |
 |
| Autoportrait (1911), Ilia Machkov (Galerie Tretiakov, Moscou) |
 |
| Kapoustnitsa (1909), Nikolaï Fechine (Académie des B-A, Saint-Pétersbourg) |
 |
| Dans le bosquet (1865), Ivan Chichkine (Musée russe, Saint-Pétersbourg) |
 | ||||||
Nikita (1910), Alexei von Jawlensky (Musée d'art, Wiesbaden)
|
| Courbe dominante (1936), Vassily Kandinsky (Guggenheim Museum, New York) |
mardi 30 août 2022
Tout frais du "marcher" (urbain) (52)
 |
| Rue Sala (2°) (là où se fit la rencontre impromptue) |
 |
| Sur la Saône |
 |
| Quai de Saône (5°) |
 |
| A l'arrêt (5°) |
 |
| Trouée (5°) |
 |
| Il y a longtemps ... (5°) |
 |
| Passage vers le quai de Saône (5°) |
 |
| Lecture au bord de l'eau (5°) |
 |
| Séance de poses (5°) |
 |
| Je surveille mes enfants (5°) |
Bonne fête
Le 30 août, c'est la saint Fiacre, tout le monde le sait. Mais quelle honte d'oublier tous les autres, qui n'apparaissent plus sur les calendriers. Pour réparer cette injustice, pensons tous à souhaiter une bonne fête aux Aile (Ayeul ou Agyle), Alexandre (Nevski), Alexandre (de Svir), Amat, Amédée, Audacte, Bobonius, Fantin, Gaudens, Mélanie (la Jeune), Pammaque, Pierre (de Trevi), Tecla. Je compte sur vous ! Enfin, si vous en connaissez !
Fiacre est le patron des jardiniers. Ce prénom me fait penser à Simenon (L'Affaire Saint-Fiacre) et au film Maigret et l'affaire Saint-Fiacre (1959), de Jean Delannoy, avec Jean Gabin. Quant à Amédée, ceux qui lisent ce blog depuis longtemps savent à qui je pense.
lundi 29 août 2022
Cocorico !
Après ma balade dans Saint-Georges, j'ai traversé la passerelle sur la Saône et enfilé la rue Sala, dans le but d'éviter la foule de Bellecour. En passant devant la résidence des Jésuites, je me suis dit que je ne l'avais jamais photographiée. Et là, une jeune femme (la quarantaine) m'adresse la parole avec un grand sourire :
- Depuis le temps que je passe par là, je n'avais jamais vu qu'il y a une chapelle en arrière de la façade.
Et la conversation va durer au moins une demi-heure. D'abord nos liens réciproques (et anciens) avec les Jésuites, puis notre localisation dans Lyon (elle habite le vieux Lyon), puis nos voyages (comme elle n'est jamais allée à Rome, je ressors ma pub !), puis l'Italie en général (elle m'indique une épicerie italienne, rue du Doyenné, La Puglia a tavola). Et elle me balance un scoop : le magazine Time Out publie chaque année le classement des plus belles villes du monde : et, en 2022, Lyon est classée 19°, devant New York (20°), Paris (32°) et Rome (41°) ! Inutile de dire que, pour Rome, je ne suis pas d'accord. Et puis, j'oubliais que je ne suis pas lyonnais ...
Ah oui, la première : Édimbourg !
Tout frais du "marcher" (urbain) (51)
 |
| Rue Saint-Georges (5°) |
 |
| Église Saint-Georges (5°) |
 |
| 5° |
 |
| Passerelle Abbé Couturier (5°/2°) |
 |
| Face au porche (5°) |
 |
| Église Saint-Georges (5°) |
 |
| Rue Saint-Georges (5°) |
 |
| C'est écrit dessus ! (5°) |
 |
| Autrefois restaurant des mères nourrices (5°) |
 |
| Fallait monter là-haut ! (5°) |
C'est à vous
A vous, si cela vous dit, de mettre sous cette photo un titre, une
phrase ou un petit texte qu'elle vous aurait inspiré. (Vous pouvez
l'agrandir en cliquant dessus.)
dimanche 28 août 2022
Tout frais du "marcher" (urbain) (50)
 |
| 3° |
 |
| Les derniers touristes d'août (5°) |
 |
| 5° |
 |
| 5° |
 |
| Musée des automates (fermé définitivement) (5°) |
 |
| 5° |
 |
| P'tit coin tranquille ... (5°) |
 |
| P'tit coin tranquille ... (5°) |
 |
| Ne bougeons plus ! (5°) |
 |
| Quelle eau ? (5°) |
samedi 27 août 2022
A propos d'un kiosque à journaux
"Je me sentais derrière cette caisse, comme aux portes du monde. Je
voyais près de 200 personnes par jour, toutes très différentes, de
toutes les nationalités, de toutes les classes sociales et de tous les
âges. C’est un poste d’observation du monde ou du moins d’un
micro-monde. Pendant six ans, j’ai aussi pris conscience de ce labeur,
de cette manutention qu’on fait de 5 heures du matin à 21 heures pour
très peu d’argent. C’est un travail ouvrier et le dernier maillon dans
le paysage de la presse."
Alexandra Pianelli
Inscription à :
Articles (Atom)
