Brexit. La chanson des Vieux Amants ?
vendredi 31 janvier 2020
Et pourquoi pas la peinture ? (86)
L'iconographie de saint Jean Bosco ne présenta pas un intérêt capital, je me suis tourné vers un autre Bosco, plus précisément El Bosco, c'est-à-dire Jérôme Bosch, dont je parlais dernièrement et qui est, à ma connaissance, le seul peintre néerlandais à posséder un pseudonyme espagnol. Ce qui me fascine chez lui, ce sont les détails de ses œuvres.
Le Jardin des délices (Musée du Prado, Madrid) |
Etudes de monstres (Staatliche Museen, Berlin) |
Le Portement de Croix (Musée des beaux-arts, Gand) |
Etudes animales (Staatliche Museen, Berlin) |
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La Tentation de saint Antoine (Musée national de l'art ancien, Lisbonne) |
Le Jardin des délices. Triptyque fermé (Musée du Prado, Madrid) |
Le Jardin des délices (Musée du Prado, Madrid) |
Le Jardin des délices (Musée du Prado, Madrid) |
Le Jugement dernier (Académie des beaux-arts, Vienne) |
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Le Jardin des délices (Musée du Prado, Madrid) |
Le Jardin des délices (Musée du Prado, Madrid) |
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Triptyque des Saints Hermites (Galleria dell'Accademia, Venise) |
Diptyque du Paradis Terrestre et de l’Ascension des Âmes (Palais des Doges,Venise.) |
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Le Jugement dernier (Académie des beaux-arts, Vienne) |
La Tentation de saint Antoine (Musée national de l'art ancien, Lisbonne) |
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La Tentation de saint Antoine (Musée national de l'art ancien, Lisbonne) |
Bonne fête

Le 31 janvier, c'est la Saint Jean Bosco, patron des éditeurs, des apprentis et des prestidigitateurs,tout le monde le sait. Mais quelle honte d'oublier tous les autres, qui n'apparaissent plus sur les calendriers. Pour réparer cette injustice, pensons tous à souhaiter une bonne fête aux Marcella, Adamnan, Athanase, Bobin, Eusèbe, Gaud, Géminien, Maedhoc, Métran, Morwenna, Nicet, Nicétas, Pouange (ou Potamius), Tobie (ou Tobias), Tryphène, Ulphe, Triphine, Acace, Ephrem. Je compte sur vous ! Enfin, si vous en connaissez !
Marcella (ou Marcelle) (325-410) est une patricienne romaine qui joua un grand rôle dans l'instauration du monachisme féminin à Rome. Elle mourut à 85 ans durant le sac de la Ville par Alaric.C'est aussi l'une des 39 convives référencées dans l’œuvre d'art contemporain The Dinner Party (1979) de Judy Chicago. Elle figure à côté de sainte Brigitte d'Irlande. Cette œuvre se présente sous la forme d'une histoire symbolisée des femmes. Chacune des 39 tables représente une figure féminine historique (mythologiques, historiques, de diverses époques et divers domaines), et les symboles qui lui sont liés. Beaucoup d'entre elles portent un relief en forme de papillon ou de fleur symbolisant une vulve. La table repose sur un socle appelé "plancher du patrimoine", un triangle équilatéral composé de 2300 plaquettes de porcelaine où figurent les noms de 999 femmes associées aux 39 convives. The Dinner Party est considérée comme la première œuvre féministe "épique", exposée au Brooklyn Museum de New-York.
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The Dinner Party |
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Détail |
jeudi 30 janvier 2020
Sautillons un peu
Après les hymnes nationaux, détendons-nous avec La Gioconda (Danse des heures) de Amilcare Ponchielli (au centre de la photo avec les premiers interprètes de cet opéra, à la Scala de Milan, le 8 avril 1876.
Et un peu de musique, ça vous dirait ? (267)
Certains les abhorrent, d'autres les vénèrent : les hymnes nationaux.
-2 : hymne des Pays-Bas : Le Wilhelmus van Nassouwe (Guillaume de Nassau)
-3 : hymne de l'Autriche : Land der Berge, Land am Strome (Pays des montagnes, pays sur le fleuve)
-4 : hymne de la Bulgarie : Mila Rodino (Мила Родино) (Chère Patrie)
-2 : hymne des Pays-Bas : Le Wilhelmus van Nassouwe (Guillaume de Nassau)
-3 : hymne de l'Autriche : Land der Berge, Land am Strome (Pays des montagnes, pays sur le fleuve)
-4 : hymne de la Bulgarie : Mila Rodino (Мила Родино) (Chère Patrie)
mercredi 29 janvier 2020
Momentini
- Visité hier l'arrière-boutique d'Emmaüs, fermée au public (mais j'ai des relations ....). Quel bazar ! La caverne d'Ali Baba, à côté, c'est de la bibine. Livres, vêtements, bibelots, meubles.... Bon d'accord : chez Emmaüs, ça brille peut-être un peu moins.
- Sur Arte en replay, une émission qui m'a appris beaucoup de choses sur Jérôme Bosch (1450-1516), un peintre que je vénère. Ainsi, sa ville natale, Bois-le-Duc (’s-Hertogenbosch), ne possède aucun tableau de son enfant le plus célèbre. Ses œuvres (à peine vingt-cinq nous sont parvenues, avec parfois des incertitudes) sont principalement visibles au musée du Prado de Madrid et à la galerie de l'Académie à Venise. J'ai été passionné par le moment de l'émission consacrée à la dendrochronologie qui permet de dater le bois support de la peinture et ainsi valider ou pas l'attribution à Bosch.
- Sur Arte en replay, une émission qui m'a appris beaucoup de choses sur Jérôme Bosch (1450-1516), un peintre que je vénère. Ainsi, sa ville natale, Bois-le-Duc (’s-Hertogenbosch), ne possède aucun tableau de son enfant le plus célèbre. Ses œuvres (à peine vingt-cinq nous sont parvenues, avec parfois des incertitudes) sont principalement visibles au musée du Prado de Madrid et à la galerie de l'Académie à Venise. J'ai été passionné par le moment de l'émission consacrée à la dendrochronologie qui permet de dater le bois support de la peinture et ainsi valider ou pas l'attribution à Bosch.
Le Guerrier solitaire
Il y avait longtemps que je n'avais pas autant été "pris" par un polar. Je l'ai littéralement dévoré, et le fait d'avoir compris assez tôt qui perpétrait ces meurtres en série à coups de hache en scalpant ensuite ses victimes ne m'a pas gêné. Du grand Manquell, assurément, lent et entêtant. Après avoir lu nombre de ses romans, je me demande si cet auteur suédois n'était pas un grand mélancolique.
(Henning Mankell, Le Guerrier solitaire. Ed. du Seuil. Trad. de Christofer Bjurström.)
(Henning Mankell, Le Guerrier solitaire. Ed. du Seuil. Trad. de Christofer Bjurström.)
Musique et cinéma
Sans musique cette fois-ci.
On connaît la chanson. Film d'Alain Resnais (1997), avec Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri, André Dussollier, Lambert Wilson, Pierre Arditi, Sabine Azéma.
On connaît la chanson. Film d'Alain Resnais (1997), avec Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri, André Dussollier, Lambert Wilson, Pierre Arditi, Sabine Azéma.
mardi 28 janvier 2020
Le cimetière de Loyasse
Dans le cinquième arrondissement de Lyon, sur la colline de Fourvière, il n'est pas très éloigné de la basilique. Il fut créé en 1807, mais en 1775, une assemblée ecclésiastique s'était déjà plainte au roi que les cimetières jouxtant les églises de la ville étaient saturés. Les premières tombes y furent installées en 1808. Mais le cimetière est très difficile d'accès de par sa position à l'extrémité de la ville d'alors et sur un plateau dominant le centre de Lyon de plus de cent mètres : on y accède par des escaliers abrupts
ou bien par des détours considérables. La création du funiculaire entre Saint-Paul et Fourvière (décembre 1900) puis du train entre Fourvière et le cimetière viendra améliorer les choses.
Les concessions y étant très chères, dans les années 1830, il était considéré comme le cimetière des riches. D'où des tombes au style architectural très varié, en rapport avec les modes de l'époque : quelques tombes en forme de sarcophages, de simples tombeaux avec gisants, des effigies et des bustes d'artistes locaux, des monuments de style Art déco, néo-classiques ou néo-gothiques, des pyramides ....
Des maires de Lyon y sont enterrés, comme Rambaud, Gailleton ou Herriot. , ou l'architecte Pierre Bossan, qui donna son nom à un style de la région, dont le monument le plus connu est la basilique de Fourvière. On y trouve aussi Émile Guimet, dont le Musée national des Arts asiatiques porte le nom. Je ne peux les citer tous car ils sont nombreux. J'ai déjà mentionné Jean-François Chanoine, l'un des fondateurs du journal Le Progrès. Une fréquentation qui fait de Loyasse le Père Lachaise de Lyon.
Train entre Fourvière et le cimetière vers 1910 |
Des maires de Lyon y sont enterrés, comme Rambaud, Gailleton ou Herriot. , ou l'architecte Pierre Bossan, qui donna son nom à un style de la région, dont le monument le plus connu est la basilique de Fourvière. On y trouve aussi Émile Guimet, dont le Musée national des Arts asiatiques porte le nom. Je ne peux les citer tous car ils sont nombreux. J'ai déjà mentionné Jean-François Chanoine, l'un des fondateurs du journal Le Progrès. Une fréquentation qui fait de Loyasse le Père Lachaise de Lyon.
lundi 27 janvier 2020
Sardines à l'italienne
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Elles sont nombreuses, ces sardines à Bologne, et elles ne se plaignent pas d'être serrées. L'Emilie-Romagne a écouté ces manifestants anti-fascistes et fait tomber la Ligue du Nord. Il doit en faire une tronche, le macho à sa tête, d'avoir été battu même en étant représenté par une femme ! Viva Italia !
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Bouquin voyageur
Souvent, dans les livres que j'achète à Emmaüs, je retrouve des traces de leurs anciens propriétaires : leur nom ou prénom parfois, la date de l'achat ou de la lecture, une vieille carte postale de Lili à Tatie Simone, une dédicace pour un cadeau d'anniversaire, rarement des passages soulignés, une phrase, un paragraphe, sans que je comprennent vraiment ceux-là justement. J'aime ces messages envoyés du passé, que j'interprète à ma façon, imaginant un visage, un intérieur, une vie.
Dans celui que je suis en train de lire, sont tombés des pages un vieux ticket de la RATP, 2° classe, Antony-Paris, oblitéré le 23 mars 2002 à 9h15, et un petit marque-page jaune offert par la librairie Molière à Montpellier et représentant un dessin de Sganarelle faisant une courbette. Molière lui-même sans doute.
Montpellier, Antony, Paris, le bouquin a voyagé ! Jusqu'à atterrir sur ma table de nuit. Drôle de destin ...
Dans celui que je suis en train de lire, sont tombés des pages un vieux ticket de la RATP, 2° classe, Antony-Paris, oblitéré le 23 mars 2002 à 9h15, et un petit marque-page jaune offert par la librairie Molière à Montpellier et représentant un dessin de Sganarelle faisant une courbette. Molière lui-même sans doute.
Montpellier, Antony, Paris, le bouquin a voyagé ! Jusqu'à atterrir sur ma table de nuit. Drôle de destin ...
dimanche 26 janvier 2020
Momentino (eh oui, il n'y en a qu'un)
Ça vaut parfois le coup de veiller tard. Devant la télé, je zappe avant d'aller me coucher et je tombe sur une émission intitulée : Comme un air d'Italie. Bigre ! me dis-je in petto (enfin, j'espère !), tu vas tout de même aller voir ce qu'il en est.
Une heure et demie de pur bonheur ! Il s'agissait d'une rétrospective de la musique italienne, pas le bel canto mais la musique populaire, de films ou de variétés des dernières décennies. Défileront les grands tubes de Mina, Celentano, Patty Pravo, Tozzi, Zucchero, Bobby Solo, Gigliola Cinquetti, Ramazzotti, Luigi Tenco, Bocelli, Jovanotti, Dalida, Ricchi e Poveri, Albano et Romina Power, Cocciante, Cutugno, Laura Pausini, Domenico Modugno, Lucio Dalla, et, bien sûr, Ennio Morricone et Nino Rota.
Bien sûr, c'est mièvre. Bien sûr, c'est guimauve. Bien sûr, c'est rengaine. Mais qu'est-ce que j'aime ! Et puis ces voix cassées !
La chanson préférée de mon ancienne voisine de Haute-Savoie, alcoolique au dernier degré et romantique plus encore.
Une heure et demie de pur bonheur ! Il s'agissait d'une rétrospective de la musique italienne, pas le bel canto mais la musique populaire, de films ou de variétés des dernières décennies. Défileront les grands tubes de Mina, Celentano, Patty Pravo, Tozzi, Zucchero, Bobby Solo, Gigliola Cinquetti, Ramazzotti, Luigi Tenco, Bocelli, Jovanotti, Dalida, Ricchi e Poveri, Albano et Romina Power, Cocciante, Cutugno, Laura Pausini, Domenico Modugno, Lucio Dalla, et, bien sûr, Ennio Morricone et Nino Rota.
Bien sûr, c'est mièvre. Bien sûr, c'est guimauve. Bien sûr, c'est rengaine. Mais qu'est-ce que j'aime ! Et puis ces voix cassées !
La chanson préférée de mon ancienne voisine de Haute-Savoie, alcoolique au dernier degré et romantique plus encore.
Du bruit mais pas de fureur
Un rêve, cette nuit, comme je n'en avais jamais fait jusque-là. Plein de gens, de rires, de bruits, de couleurs. Un vrai charivari de carnaval ! J'étais dans une immense salle, un hangar plutôt, occupé par des centaines de tables dressées où étaient assis des milliers d'hommes et femmes festoyant. Venue de très loin, je vis s'approcher de moi Roselyne, une ancienne collègue, qui m'attrapa par le cou et me fit le plus tendre des bisous sur la tempe avant de repartir sans un mot. Je me souviens qu'elle sentait bon.
Réveil. Pose pipi.
A peine rendormi, le même type de rêve m'assaille. Cette fois, c'est plutôt ambiance foire, fête foraine. Toujours la foule et le bruit, les rires surtout. Deux de mes anciens collègues de gymnastique passent régulièrement devant moi à vélo et me lance une phrase que je ne comprends jamais. Ils rient eux aussi et ne se lassent pas de passer et de repasser. Et moi, je ne comprends pas, je leur souris. Je suis bien.
Je me suis réveillé en pleine forme et tout guilleret.
Réveil. Pose pipi.
A peine rendormi, le même type de rêve m'assaille. Cette fois, c'est plutôt ambiance foire, fête foraine. Toujours la foule et le bruit, les rires surtout. Deux de mes anciens collègues de gymnastique passent régulièrement devant moi à vélo et me lance une phrase que je ne comprends jamais. Ils rient eux aussi et ne se lassent pas de passer et de repasser. Et moi, je ne comprends pas, je leur souris. Je suis bien.
Je me suis réveillé en pleine forme et tout guilleret.
samedi 25 janvier 2020
2020 : année Beethoven ?
Décidément, on s'y prend tôt pour célébrer le 250° anniversaire de Beethoven : en fait il est né le 16 décembre 1770 ! Mais pourquoi pas ? Sans lui, nous n'aurions pas le même hymne européen ....
Mes rapports avec le plus illustre sourd sont assez contradictoires.
Hormis les 45 ou 33 tours de Valses viennoises que mes parents possédaient et avec lesquels j'ai appris à danser la valse avec un balai en faisant le ménage, le premier disque vraiment à moi de musique classique fut, chez Deutsche Grammophon, les sonates n° 8 (Pathétique), 14 (Clair de lune) et 23 (Appassionata) interprétées par Wilhelm Kempff. Je l'ai écouté en boucle pendant des années. Je l'ai toujours mais ne le sors plus guère. Je dois donc à Beethoven mes premiers émois musicaux.
J'ai connu ensuite ses symphonies mais la symphonie, de quelque compositeur que ce soit, m'a toujours ennuyé, à moins de la découper et de n'en écouter que quelques mouvements.
Le coup de grâce fut donné à Orange, quelques années plus tard. J'y assistai à une représentation de Fidelio, le seul opéra de Beethoven. J'avais obtenu une place bon marché tout en haut des gradins où j'entendais beaucoup mieux le souffle du mistral et le grondement des trains que ce que l'on jouait sur la scène. Malgré tous mes efforts, l'opus de Ludwig ne parvint pas à m'intéresser (si je compare, par exemple, au plaisir de la première œuvre que j'ai jamais entendue à l'opéra : Orfeo, de Monteverdi).
M'étant, avec l'âge, éloigné du romantisme, je me suis aussi éloigné de Beethoven que j'avais classé, peut-être un peu vite, dans ce courant artistique. Je ne suis guère revenu vers lui, même si, maintenant, je peux l'écouter sans déplaisir à la radio.
Mes rapports avec le plus illustre sourd sont assez contradictoires.
Hormis les 45 ou 33 tours de Valses viennoises que mes parents possédaient et avec lesquels j'ai appris à danser la valse avec un balai en faisant le ménage, le premier disque vraiment à moi de musique classique fut, chez Deutsche Grammophon, les sonates n° 8 (Pathétique), 14 (Clair de lune) et 23 (Appassionata) interprétées par Wilhelm Kempff. Je l'ai écouté en boucle pendant des années. Je l'ai toujours mais ne le sors plus guère. Je dois donc à Beethoven mes premiers émois musicaux.
J'ai connu ensuite ses symphonies mais la symphonie, de quelque compositeur que ce soit, m'a toujours ennuyé, à moins de la découper et de n'en écouter que quelques mouvements.
Le coup de grâce fut donné à Orange, quelques années plus tard. J'y assistai à une représentation de Fidelio, le seul opéra de Beethoven. J'avais obtenu une place bon marché tout en haut des gradins où j'entendais beaucoup mieux le souffle du mistral et le grondement des trains que ce que l'on jouait sur la scène. Malgré tous mes efforts, l'opus de Ludwig ne parvint pas à m'intéresser (si je compare, par exemple, au plaisir de la première œuvre que j'ai jamais entendue à l'opéra : Orfeo, de Monteverdi).
M'étant, avec l'âge, éloigné du romantisme, je me suis aussi éloigné de Beethoven que j'avais classé, peut-être un peu vite, dans ce courant artistique. Je ne suis guère revenu vers lui, même si, maintenant, je peux l'écouter sans déplaisir à la radio.
Vous avez dit polysémie ?
Quand un terme aussi savant peut s'appliquer à un mot très ordinaire : foutu.
- je suis foutu : je suis perdu.
- il n'est pas foutu de faire ça : il n'est pas capable de faire ça.
- elle a un foutu caractère : elle a un caractère détestable.
- nous avons eu une foutue chance : nous avons eu une chance extraordinaire.
- ce mec est très bien foutu : ce mec a un physique magnifique.
- qu'est-ce que tu as foutu ? : qu'est-ce que tu as fait ?
- je suis mal foutu aujourd'hui : je suis patraque aujourd'hui.
- ils lui ont foutu une belle rouste : ils lui ont flanqué une belle rouste.
- je l'ai foutu en l'air : je l'ai jeté.
- on l'a foutu à la porte : on l'a mis à la porte.
- il s'est foutu de moi : il s'est moqué de moi.
- je suis foutu : je suis perdu.
- il n'est pas foutu de faire ça : il n'est pas capable de faire ça.
- elle a un foutu caractère : elle a un caractère détestable.
- nous avons eu une foutue chance : nous avons eu une chance extraordinaire.
- ce mec est très bien foutu : ce mec a un physique magnifique.
- qu'est-ce que tu as foutu ? : qu'est-ce que tu as fait ?
- je suis mal foutu aujourd'hui : je suis patraque aujourd'hui.
- ils lui ont foutu une belle rouste : ils lui ont flanqué une belle rouste.
- je l'ai foutu en l'air : je l'ai jeté.
- on l'a foutu à la porte : on l'a mis à la porte.
- il s'est foutu de moi : il s'est moqué de moi.
C'est à vous
A vous, si cela vous dit, de mettre sous cette photo un titre, une
phrase ou un petit texte qu'elle vous aurait inspiré. (Vous pouvez
l'agrandir en cliquant dessus.)
vendredi 24 janvier 2020
Et pourquoi pas la peinture ? (85)
Vous ne les connaissez pas . En voici quelques-uns, de ces saints François :
Et, enfin, un autre François, pas encore saint, celui-ci :
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François Caracciolo (artiste et localistion : ?) |
François Xavier, Rubens (Musée d'Histoire de l'Art, Vienne, Autriche) |
François de Paule, Anonyme (Château de Beauregard, Loire-et-Cher |
François Borgia, Pietro della Vecchia (Musée des Beaux-Arts, Brest) |
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François Solano, Attribué à Pedro Diaz (localisation : ?) |
François d'Assise, Giotto, Musée du Louvre, Paris) |
François Jaccard (artiste et localisation : ?) |
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François Caracciolo (artiste et localisation : ?) |
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