Il y avait longtemps que je n'avais pas autant été "pris" par un polar. Je l'ai littéralement dévoré, et le fait d'avoir compris assez tôt qui perpétrait ces meurtres en série à coups de hache en scalpant ensuite ses victimes ne m'a pas gêné. Du grand Manquell, assurément, lent et entêtant. Après avoir lu nombre de ses romans, je me demande si cet auteur suédois n'était pas un grand mélancolique.
(Henning Mankell, Le Guerrier solitaire. Ed. du Seuil. Trad. de Christofer Bjurström.)
mercredi 29 janvier 2020
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