lundi 15 juin 2020

Jeu pour les vivants

Patricia Highsmith ! Une vieille connaissance par la lecture ou le cinéma ! Quand j'ai vu deux romans d'elle qui traînaient sur les rayons d'Emmaüs, je n'ai pas hésité.

J'aurais dû, au moins pour le premier que je viens de terminer. Ce polar est plus psychologique que vraiment policier. C'est assez courant chez Highsmith, je me souviens avec délice de la lecture de son Journal d’Édith. Ici, l'intrigue se situe à Mexico où un homme s'interroge sur la culpabilité de l'un de ses amis qui s'accuse du meurtre de leur maîtresse commune. Mais le manque de "punch" de cette intrigue a fait qu'à aucun moment, je n'ai senti quoi que ce soi de stimulant, vous savez : quand on voudrait que les pages se tournent plus vite pour qu'enfin on sache. Rien de cela ici. Je serai, ce soir, content de passer à autre chose.
( Patricia Highsmith, Jeu pour les vivants. Ed. Calmann-Lévy. Trad. de Jean Rosenthal.)

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