samedi 8 septembre 2018

Philby, portrait de l'espion en jeune homme

Après la lourdeur du pavé catalan, quel plaisir de lire ce polar de l'américain Robert Littell. L'apprentissage de son "métier" d'espion, dans les années 30/40, par un jeune homme anglais de très bonne famille, raconté par différents narrateurs britanniques ou russes. D'une parfaite intelligence de construction, d'un humour typiquement british, ce bouquin m'a passionné tout en me baladant de Londres à Prague, de Moscou à Beyrouth, d'Espagne en France et en Belgique.
(Robert Littell, Philby. Portrait de l'espuon en jeune homme. Ed. Baker Street.Points. Trad. de Cécile Arnaud.)

3 commentaires:

plumequivole a dit…

Je viens de m'en apercevoir, Robert Littell est le père de Jonathan Littel, l'auteur des Bienveillantes, ce livre dont je n'ai pu supporter la violence.

CHROUM-BADABAN a dit…

Ah oui moi aussi je confondais le père et le fils !
Jonathan Litell, je n'ai pas envie !

Calyste a dit…

Plume et Chroum : je ne connaissais pas le lien familial. Mais rien à voir pour le contenu de leurs romans. Personnellement, j'ai aimé les deux, malgré, effectivement, l'extrême violence des Bienveillantes.