Sans ordinateur, j'ai eu encore plus de temps pour lire. Comme j'avais eu la chance de trouver deux Indridason chez Emmaüs, j'en ai lu un : Le Duel.
Pas de Erlandur dans celui-ci : il apparaît tout jeune homme à la dernière page. Non, mais une enquête menée par sa (ensuite) vieille collègue Marion Briem, confrontée, pendant le "duel" d'échecs entre l'américain Fisher et le russe Spassky, à une histoire d'assassinat d'un adolescent et à la Guerre Froide.
A mon avis, c'est le meilleur Indridason que j'aie lu jusqu'à présent. La relation parallèle de la jeunesse de Marion en partie passée dans des sanatoriums est passionnante et, de la solution de l'énigme, on ne devine rien. Jaime bien me faire avoir comme ça !
(Arnaldur Indridason, Le Duel. Ed. Métailié. Trad. de Eric Boury.)
dimanche 23 septembre 2018
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