On pourrait croire Dupont perdu sans Dupond. Il n'en est rien. La source aux à-peu-près ne se tarit pas. Ainsi les deux nouvelles trouvailles de l'autre soir, à lui tout seul :
- "Ah ! Elie Kakou ! J'adorais cet humoriste, surtout son personnage de Madame Sirtaki !" On n'en Zorba !
- "Je ne suis jamais allé en Thaïlande. J'aimerais bien, surtout à Fouquet's. " D'autres y sont allés et ça ne leur a pas réussi !
mercredi 26 février 2014
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4 commentaires:
Moi aussi j'aimais Elie Kakou qui me rappelais, lui aussi, la mère de mon compagnon franco-israélien séfarade de l'époque. Madame Sarfati c'était elle, et elle me faisait rire. Elle s'appelait Fortunée comme la fille de madame Sarfati... et rendait compte sans vergogne de la manière dont étaient traités à l'époque, ça a changé depuis, les séfarade en Israël? Elle s'entendait mieux avec les arabes qu'avec les ashkénazes... ELle avait tout compris
Eh bien, il faut quand même avoir entendu parler de tout ça, ce qui n'est pas donné à tout le monde, moi le premier.
Elie Kakou, j'aimais bien, même s'il avait aussi un côté angoissant à mes yeux.
PP : moi aussi, je l'aimais bien parce qu'il me faisait rire, beaucoup et sans arrière-pensée.
Cornus : bien sûr, mais si l'on veut en parler, autant le faire correctement, surtout si, comme c'est le cas pour Dupond(t), on se prend très au sérieux.
Ah ça oui, j'évite de trop parler de ce que je ne connais pas, même si je m'aperçois parfois que certaines choses que je connais, je ne les connais pas encore assez.
En même temps, je trouve extraordinaire que certaines personnes peuvent parler de tout, même si bien peu maîtrisent a minima l'ensemble.
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