samedi 30 juin 2012

Un Été ardent

Et un Camilleri, un. Un de plus de cet auteur prolixe qui me convient parfaitement lorsque je n'ai pas envie de me casser la tête. J'aime son commissaire Montalbano, parce qu'il est sicilien, parce qu'il est sensuel, parce qu'il aime bien manger, parce que je me retrouve dans ses colères comme dans ses pudeurs. Ça suffit pour éprouver du plaisir à lire, non?
(Andrea Camilleri, Un Été ardent. Fleuve noir. Trad. de Serge Quadruppani, avec l'aide de Maruzza Loria.)

4 commentaires:

Cornus a dit…

En as-tu vu les adaptations à la télévision ?

Calyste a dit…

Cornus: non, et je me demande si je le ferai. Depuis le temps, je me suis formé une certaine image de ses personnages récurrents et je craindrais d'être déçu.

Anonyme a dit…

Il me semblait bien avoir vu ce Montalbano à la télévision et cela ne m'avait pas séduit. Mais si tu nous dis qu'il est sensuel et qu'il aime manger alors je me laisserais bien tenter par les romans. ;)

Calyste a dit…

Gonzo: tu n'auras que l'embarras du choix.