A celles (et peut-être bientôt à ceux) que l'on oublie trop vite parce qu'ils ne furent pas grands, mais sans qui rien de grand ne se serait fait.
Première de cette nouvelle rubrique, celle qui fut sans doute la reine de ce Panthéon: Pauline Carton.
"Mais qu'est-ce qu'ils ont avec les adverbes sur ce bateau?!"
Du film Les Perles de la Couronne, de Sacha Guitry, 1937
Et aussi en chanson:
"Prends-moi sous les laitues, aimons-nous sous l'évier..."
Du film Toi, c'est moi, de René Guissart, 1936
dimanche 19 décembre 2010
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6 commentaires:
Ah les palétuviers ! Qu'est-ce que je rigolais quand mes parents écoutaient ça ! "Aimons-nous sous l'évier", quand j'étais gamine ça me paraissait le comble du torride !
Pour moi, c'est toujours le comble du torride!
Qui c'est??
C'est l'....
Mais là, moi j'ouvre grand la porte, Charlus!
Pauline Carton, c'était un peu la grande gueule, si mes souvenirs sont bons. Ce n'est pas elle qui m'a marquée: je me souviens toujours avec émoi et tendresse de cette autre comédienne, aux antipodes de la Carton: c'est Hélène Dieudonné, celle qui incarnait Célestine dans Belle et Sébastien ; elle jouait aussi dans Vidocq, je crois...et aussi peut-être dans Janicque aimée, ce feuilleton qui passait le soir sur l'ORTF.
Elle avait un visage doux et jovial à la fois et pour moi elle a toujours représenté le type de la grand-mère espiègle et douce. Une simple, un peu comme je me suis toujours représentée la Félicité d'Un coeur simple.
Voir le billet d'aujourd'hui, Merbel, que j'ai fait avant de lire votre commentaire. J'ai toujours, moi aussi, beaucoup aimé Hélène Dieudonné.
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