- Juliette, en commentaire d'un billet de Christophe dit que, chaque année, elle oublie l'existence de l'hiver et qu'elle est toujours surprise de la fatigue qu'elle ressent alors. On ne pouvait mieux traduire mon propre sentiment.
- Après la neige et la glace, la pluie. Nettoyage des rues. On reprend comme avant, jusqu'au prochain épisode.
- Hier soir, j'ai rendu une invitation. Chez moi, fondue bourguignonne. Je déteste cette expression "rendre une invitation", mais là, c'était vraiment çà! La fondue était bonne, l'ambiance aussi. Aucun intérêt.
- Je dors dans mon ancienne chambre, celle que j'occupe depuis deux ou trois ans étant en travaux. J'y dors presque mieux alors qu'elle donne sur la rue. Je m'y sens bien. Pourtant, c'est un capharnaüm infâme d'objets déplacés et entassés ici. Comme si je passais mes nuits dans un grenier.
dimanche 5 décembre 2010
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7 commentaires:
Je n'ai jamais eu vraiment conscience d'être plus fatigué l'hiver. C'est aussi une période pour moi de plus grande activité physique, puisque c'est le moment des gros travaux au jardin, qui peut-être aide à maintenir en forme... La seule chose que je craigne un peu c'est les températures négatives, accompagnées de sec et de soleil, heureusement assez rares ici.
Moi aussi, je suis davantage fatigué en hiver, notamment quand on est enrhumé comme c'est mon cas en ce moment (je suis douillet, un rien m'accable).
J'ai un peu de mal à saisir l'opposition entre le bon repas et la bonne ambiance d'un côté et le désintérêt. Sauf à se persuader de la bonne ambiance qui aurait été parfaitement feinte ou artificielle.
Moi j'ai oublié le froid jusqu'a ce weekend a Bologne,
-2C. J'étais épuisé par le froid qui me mangeait cru.
Rome est bien plus chaude.
Rome est déjà bien au sud de la Péninsule, Laurent. Personnellement, je n'y ai vu de la neige qu'une seule fois (comme à Naples et sur les pentes du Vésuve). Bologne est une des rares villes italiennes que je n'ai jamais visitée: je n'en connais que la gare, tristement célèbre.
Moi, c'est exactement le contraire, karagar: j'aime le froid sec et ensoleillé. Saint-Étienne a ce climat, alors que Lyon est souvent trop humide pour moi.
Il y a un peu de ça, Cornus. Je sais me tenir, et puis nous étions cinq, mais l'un des invités n'est ps ma tasse de thé. Je l'ai dit, je rendais une invitation. Pure politesse donc.
Quand je pense que tu nous as fait dormir dans un "grenier" ! Sans même que nous n'ayons eu droit à la fondue bourguignonne !
J'espère au moins qu'en te couchant, tu t'es "souvenu de l'odeur" de TiNours et Lancelot...
Lancelot: à l'époque, le grenier était aménagé. Quant à l'odeur, si elle était restée incrustée aussi longtemps, il y aurait de quoi s'inquiéter, non? Mais rassure-toi: ma libido fonctionne, même sans phéromones, et ce malgré mon âge avancé....
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