Mireille m'avait spécialement appelé pour me dire qu'au Palais de Bondy, dans le cadre du Salon de Lyon et du Sud-Est, il y avait un photographe dont les œuvres risquaient de m'intéresser. D'où ma promenade d'hier.
Et je ne la regrette pas : outre la surprise de retrouver là-bas quelques personnes de ma connaissance; directement ou indirectement, j'ai passé plus d'une demi-heure à bavarder avec ce photographe de quarante ans. J'ai tendance, habituellement, à fuir ces salons où l'on s'écoute parler et où artiste s'écrit trop souvent avec un A majuscule guère mérité. Rien de tout cela avec ce monsieur. Et Mireille avait raison : je me retrouve totalement dans ses photographies. Et il m'a permis de mettre un nom sur ce que je pratique souvent avec les miennes : la décontextualisation.
lundi 6 novembre 2017
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6 commentaires:
En parlant de photographie artistique, connais-tu le musée Nicéphore Niépce de Chalon-sur-Saône ?
Et tu ne nous donnes pas son nom?
C'est qui ?!
Cornus : non, pas encore, mais si, l'été prochain; nous allons en gîte en Bourgogne, je compte bien aller y faire un tour. Tu connais, toi ?
Jérôme : son site internet : www.jrberlioz.com
Chroum : va voir son site (adresse ci-dessus).
Oui, je connais. Il y a des espaces d'exposition permanente liés à l'histoire de la photographie et plusieurs autres salles où ont lieu simultanément plusieurs (trois il me semble) expositions temporaires. L'entrée est gratuite. Nous y sommes allés deux fois.
Cornus : bien sûr, ça m'intéresse.
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