Stevenson a été un de mes premiers compagnons de lecture, avec L'Île au trésor, bien sûr. Par la suite, j'ai découvert Docteur Jekyll et Mister Hyde, Le Maître de Ballantrae et Le Voyage avec un âne dans les Cévennes. Mais l'œuvre de l'écossais est bien plus fournie, au point que certains le comparent à Victor Hugo. Et tout cela avec l'aide de Fanny, toujours à ses côtés pour le soutenir, l'encourager, le soigner pendant ses fréquentes maladies. Une femme exceptionnelle qui, malgré le succès mondial de son mari, est toujours restée elle-même. Une sacrée bonne femme !
(Alexandra Lapierre, Fanny Stevenson. Ed. Robert Laffont.)
3 commentaires:
Et pourquoi au juste tu as failli abandonner ? Juste parce que ce n'était pas une biographie classique ?
Ton post m'a fait penser à une autre Fanny restée dans l'ombre, de son frère cette fois, Fanny Mendelssohn, grande compositrice et pianiste.
Cornus : je pensais à une biographie plus traditionnelle mais, finalement, les parties romancées sont tirées de faits réels.
Plume : encore une grande oubliée !
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