Merci à Cornus et Pippo pour leur silence quant à ma destination. Je suis bien désolé de ne pas avoir pu les rencontrer mais le voyage a été décidé assez rapidement et fut vraiment beaucoup trop bref pour me le permettre : parti le vendredi matin de Lyon, j'étais de retour le dimanche en début d'après-midi.
Quant aux autres, ils ne semblent pas avoir été très inspirés par la photo censée les aider. Il s'agissait en fait de la statue du P'tit Quinquin, de Eugène Desplechin (1902), en fait de sa réplique (l'original est à l'hôtel de ville), statue en hommage à la célèbre chanson qui raconte les efforts d'une dentellière pour endormir son bébé (Alexandre Dérousseaux, 1853).
Lille donc pour destination. Il y avait très longtemps que je souhaitais connaître cette ville où je n'avais fait que passer il y a des années pour me rendre à Utrecht aux Pays-Bas. Depuis Lyon, trois heures de TGV et l'on y est. Le temps d'admirer les si beaux paysages de la Bourgogne et du Morvan et, à l'arrivée, d'apercevoir mes "reliefs" d'enfance, les fameux terrils, que l'on prononce et écrit terris ici.
Ma première surprise fut de découvrir une ville très animée, sans doute en partie grâce aux nombres d'étudiants qui y résident. Une ville vivante et sympathique (mais je connaissais déjà la réputation des gens du nord). Une ville qui abrite aussi quelques attraits touristiques, même s'ils sont plus disséminés que ceux de Lyon. Ma sœur, qui connaissait déjà la ville, me les a fait découvrir en évitant le temps perdu à chercher. Juste un chiffre : nous avons parcouru à pied 30,5 kilomètres en ce court laps de temps. D'où mon silence d'hier soir : j'avais besoin de recharger les accus !
lundi 14 octobre 2019
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2 commentaires:
Eh bien, on t'a fait trotter, diable !
Cornus : mais ça valait le coup.
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