mardi 8 octobre 2019

Sixties at home

Merci, Plume, pour l'idée. Voici ce qui traînait chez moi.

Mon père le chantait à tue-tête quand il était de bonne humeur (et ce n'était pas toujours une réussite) :



Parfois, pour changer :



Ma mère, c'était plutôt :



Mes frères et sœurs n'avaient pas accès à l'électrophone. Moi, pour faire le ménage le dimanche matin, je m'entraînais à la valse avec le balai en écoutant :



Et puis, sans transition :



Et les Beatles, je les avais en horreur....

5 commentaires:

plumequivole a dit…

Les Beatles j'aimais bien, sans plus, j'étais Stones à fond, et très vite j'ai fait pire...

C'est bien intéressant je trouve d'évoquer les différentes ambiances musicales de notre enfance. Parce que mine de rien, ça laisse des traces !

Calyste a dit…

Plume : moi, ni l'un ni l'autre, par opposition aux petits (grands)bourgeois qui m'entouraient au lycée et qui s'en gargarisaient.
Oui, ça laisse des traces et parfois ça fait sourire.

Cornus a dit…

Eh bien moi, durant mon enfance, je n'écoutais pratiquement pas de musique à part de rares fois les rares disques de mes parents. Et c'est tout et cela ne m'a pas handicapé, sauf à être déconnecté de mes camarades d'école/collège... mais ça je m'en moque, cela m'a façonné aussi.

Calyste a dit…

Crnus : crois-tu qu'avec les valses, Luis Mariano et Berthe Sylva, j'étais connecté avec les miens ?

Cornus a dit…

Calyste> Très probablement aussi, mais ce que je voulais dire, c'est qu'entre toi et moi, les "moteurs" étaient différents.